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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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30 janvier 2006

Article transmis par notre correspondant Philippe Cléris

Chers lecteurs de l'Etoile de Normandie,
le nombre de nos collaborateurs grandi. Philippe Cléris vient régulièrement nous informer sur ses actions, sur ces idées pour la Normandie et il nous fait parvenir ses trouvailles normandes. Aussi nous livrait-il ce weekend un article de Florestan d’Hudimesnil pour la réunification de la Normandie.
Je précise ici que l'Étoile de Normandie, apolitique, ne partage pas forcément les idées contenues dans les textes d'auteur. Ainsi nous ne partageons pas les éloges faites  à Duron, et Le Vern. L'action réunificatrice irait plus vite sans leur immobilisme et leurs fausses intentions.
Merci à Philippe Cléris.
Et n'oubliez pas de le soutenir dans son opération : Bienvenue en Normandie (postée dans un article précédent).
MHAP
La Réunification de la Normandie,
pour vivre et travailler au pays…

« Vivre et travailler au pays », c’était le slogan des militants du Larzac, de l’Ardèche, des coopérateurs ruraux du centre de la Bretagne des années 1970 : à l’heure des premières remises en cause du modèle centralisateur jacobin de la technocratie parisienne dominée par les hauts fonctionnaires et les grands ingénieurs, des mobilisations s’étaient constituées contre le tout militaire, le tout nucléaire ou le tout Paris… C’était une époque où l’on croyait que l’action politique pouvait changer la vie entre l’explosion de mai 1968 (qui n’est pas seulement un feu d’artifice de l’extrême gauche) et la victoire de François Mitterrand de 1981 : c’était la naissance du mouvement  pour l’écologie politique en France, la montée d’un syndicalisme rural indépendant de celui de la FNSEA en lutte pour l’autonomie des paysans contre le clientélisme des notables locaux. C’était aussi la montée des mouvements régionaux (voire régionalistes) pour la reconnaissance des identités locales face à l’aveugle gestion du territoire français par la technocratie parisienne discrétionnaire via le réseau préfectoral pour imposer les aménagements que souhaitent les lobbies industriels à tous les ploucs de la Province. C’était la reconnaissance en marche des cultures françaises, celles qui ont été écrasées depuis deux siècles par l’impérialisme parisien ; la décolonisation de la France s’étant arrêtée à Alger en 1962. L ‘approfondissement de la démocratie et partant, la réalisation des principes de la République (la République n’est pour le moment qu’une pétition de principes pour orner les frontons des mairies) devait passer par la démocratisation de la démocratie locale ( aujourd’hui, la démocratie locale consiste à élire un autocrate pour 7 ans de dictature sur le territoire communal) c’est à dire par la mise en place avec les habitants et le mouvement social et associatif local d’une véritable démocratie participative…

De tout cela que reste  t-il après 25 ans d’adaptation de la France à la mondialisation néo-libérale ? Pas grand chose si ce n’est des évidences qu’aujourd’hui, tant à droite qu’à gauche, personne n’ose remettre en cause : qui est aujourd’hui officiellement contre la protection de l’environnement, le développement durable, la décentralisation voire la démocratie participative ? Mais des intentions à la réalité il y a, comme toujours, des années lumières…

Pourtant, la situation mondiale marquée tant par l’ouverture et la déréglementation néo-libérale  que par les immenses enjeux du développement durable (fin du pétrole pas cher dans moins de 20 ans…) fait que ces questions déjà posées par la jeunesse idéaliste des années 1970 deviendront les certitudes des plus réalistes d’entre nous d’ici 30 ans, à moins qu’il ne soit trop tard : la concurrence territoriale générée par la mondialisation sera de plus en plus vive . Seuls les territoires qui sauront maîtriser leur développement de façon harmonieuse pourront se tirer d’affaire. Pour les autres, une nouvelle ère de dépendance quasi coloniale se prépare signifiant chômage, précarité et baisse de la qualité du cadre vie… Les villes et territoires dominants imposeront leurs lois aux territoires dominés, réserves d’espaces à exploiter ou à polluer ou pire encore, réserves de relégation pour populations en difficulté, territoires méprisés ou oubliés… Les récentes émeutes dans les banlieues des grandes agglomérations françaises témoignent avec amertume que ce phénomène de concurrence territoriale existe fortement sur le territoire de la République « une et indivisible »…

Le slogan « vivre et travailler au pays ou dans son quartier » garde donc toute son actualité : qu’en est –il de la Normandie et du département de la Manche ?

La « Basse » Normandie, un territoire dominé…

Selon les derniers chiffres disponibles (INSEE ; juillet 2005) la « Basse » Normandie est avant dernière région de France en part de P.I.B. (« Basse » Normandie : 21ème sur 22 et la « Haute » Normandie : 13ème sur 22). C’est la dernière région de France pour les emplois de cadres.  Un jeune diplômé sur 4 (bac +3) quitte la « Basse » Normandie pour continuer ses études ailleurs et trouver un emploi . La « Basse » Normandie est sous la moyenne nationale pour le nombre de médecins pour 1000 habitants (départements de l’Orne et de la Manche). La « Basse » Normandie n’est toujours pas reliée ni connectée au réseau TGV. (Paris /Saint-Malo en trois heures depuis décembre 2005). L’école d’avocat de Caen a été délocalisée à Rennes en 2003 ainsi que celle de Rouen partie à Lille. Le crédit maritime de « Basse » Normandie a désormais son siège social à Saint-Brieuc. Les carrières de granit du Mortanais sont en difficulté depuis que les municipalités préfèrent utiliser le granit importé de Chine via le port de Nantes. Certains éleveurs de l’Avranchin qui n’ont que l’équivalent du RMI à la fin du mois acceptent l’épandage de lisiers en provenance de Bretagne pour arrondir leurs revenus.

Une association est obligée de prendre en charge le transport public des jeunes chômeurs de Coutances pour leur recherche d’emploi en raison de la carence de tout transport public dans le département de la Manche (sauf à Cherbourg). La pression immobilière sur le littoral de Granville empêche les jeunes couples qui voudraient vivre et travailler au pays de le faire, justement ! Le port de Cherbourg qui vient de perdre deux tiers de son trafic transmanche n’est toujours pas correctement désenclavé. (liaison autoroutière entre Carentan et Saint-Lô). Tandis qu’on attend sagement le jour ou un TER électrique reliera correctement Granville à Caen . (Ne rêvons pas trop de pousser cet aménagement jusqu’au Mont St Michel vu l’état du budget régional…). La « Basse » Normandie, trop « basse » ou trop petite a été recalée pour les jeux équestres mondiaux de 2010 (au profit du Kentucky) malgré tous les atouts de la filière équine bien présente dans la région. La « Basse » Normandie est décidemment bien trop petite : le seul budget du CG du Calvados pèse 2 fois et demi plus que l’ensemble du budget de toute la « Basse » Normandie. Certains élus locaux, entre autres à Caen mais aussi beaucoup dans le département de la Manche (le sud plus que le Cotentin), pensent que l’avenir c’est le rattachement de la « Basse » Normandie au « Grand Ouest » piloté à Rennes ou à Nantes mais certainement pas de Caen ou de Cherbourg : c’est le renoncement pour le déclin confortable assis sur la double rente du nucléaire (66% de la taxe professionnelle perçue par le CG 50) et du tourisme balnéaire (avec la résidentialisation d’une population de retraités). Dans la Manche, en effet,  beaucoup s’en vont à Rennes pour raisons professionnelles mais je ne connais pas beaucoup de Rennais qui font le chemin inverse avec autant d’intensité si ce n’est pour explorer le pays pendant les vacances scolaires à la recherche d’une opportunité immobilière… Signe évident d’une dépendance de type colonial (la banlieue, c’est là où c’est moins cher…).

Pour en terminer (provisoirement, hélas) avec cette litanie déjà trop longue sur le déclin réel d’une région normande coupée en deux depuis 1955, je garde le plus symbolique pour la fin : dans le courant du printemps 2004, la banque PNB Paribas lance sur les médias  et sur l’affichage public des grandes villes françaises un nouveau produit d’épargne baptisé « Tatihou ».  C’était à Lyon sur le quais de Saône à un feu rouge : d’abord surpris agréablement d’être interpellé si loin de la Normandie par un vocable qui évoque un paradis perdu de ma vie intime et sentimentale, je fus peu à peu gagné par une colère froide de voir que l’image de cette petite île splendide soit associée à un produit d’épargne . Je me demandai aussitôt : « qui a osé permettre cela ? ». Dès le lendemain, j’attrape mon téléphone et j’appelle la mairie de St . Vaast la Hougue ainsi que le secrétariat du musée maritime de Tatihou : personne n’était au courant ! Une semaine plus tard, je reçus une lettre du maire de Saint Vaast pour me remercier de l’avoir prévenu tandis que le directeur du musée, passablement courroucé par cet affaire  plaidait sa cause auprès du Conseil Général de la Manche : pour quel résultat ? Quelques mois plus tard, je reçus une lettre fort aimable du président (UMP) du Conseil Général de la Manche  M. JF Legrand qui, tout en saluant mes efforts pour défendre les intérêts de la  région, m’informa qu’il venait de signer un partenariat avec la banque pour promouvoir le département de la Manche. Je n ‘ai pas voulu donner suite à ce courrier qui me tomba des mains…

La Manche et la « Basse » Normandie sont donc des territoires dominés par des « élites » politiques dominées : le déclin social et économique de la région ne les touche que s’il affecte aussi leurs clientèles électorales directes (les agriculteurs FNSEA, l’artisanat, le petit patronat et les retraités). Si ce déclin s’approfondit davantage, mettant en cause de plus en plus  l’avenir social de ces catégories (on peut rajouter aussi les ouvriers, les employés et les petits fonctionnaires), des forces extrémistes et populistes chasseront ces notables de leur fromage confortable aux prochaines élections nationales et locales…

La réunification de la Normandie : une nécessité pour stopper le déclin…

Face à ce triste bilan qu’aucun responsable politique n’ose faire en public  (lire pourtant le rapport du Conseil économique et social de « Basse » Normandie de 2004 : affligeant !) et face à la médiocrité de la proposition politique en « Basse » Normandie, il y a pourtant une belle idée qui fait son chemin malgré tout. Cette idée a pour elle d’être simple : unis nous sommes plus forts pour décider par nous mêmes de notre avenir et de le maîtriser. Divisés, nous sommes trop faibles et des décideurs concurrents profitent de notre division . C’est la situation dramatique dans laquelle nous sommes : la plupart des grandes décisions stratégiques qui concernent l’avenir de la « Basse » Normandie sont prises à l’extérieur (Paris, Nantes ou Rennes). Par exemple, l’affaire de l’EPR installé à Flamanville : EDF décide  avec la carotte de l’emploi (argument typique proposé aux territoires dominés) aux élus locaux de gérer les conséquences (environnementales, entre autres avec le passage des lignes à haute tension). Pourtant, de plus en plus d’activités sociales et économiques ont intégré concrètement la dimension normande à 5 départements : c’est bien cet ensemble qui bénéficie d’une notoriété internationale et qui semble économiquement le plus cohérent ( avec l’axe du val de Seine et le littoral qui offre de nombreux atouts sur le bord de la mer la plus fréquentée du monde). Outre la cohérence historique et patrimoniale de la Normandie à 5 (c’est pour cette raison qu’il n’y a qu’un seul comité touristique normand qui, cependant, reçoit pour son financement  50% de moins que son homologue breton…) il y a la réalité de nombreuses entreprises, banques, administrations, agences, syndicats, fédérations sportives, associations et mouvements qui sont  déjà « réunifiés »… Ce mouvement est d’ailleurs fortement ressenti dans les territoires ruraux et dominés des confins (le sud du Pays d’Auge ; l’est de l’Orne et l’ensemble du département de l’Eure) : pour ces bassins de vie dont certains viennent d’être durement touchés par la déprise industrielle, la perspective de la réunification de la Normandie changerait la donne en éclaircissant enfin l’avenir. Dans la Manche, c’est évidemment Cherbourg qui aura le plus à profiter des retombées positives d ‘une réunification normande dont l’enjeu est la maîtrise du développement portuaire : le maire de Cherbourg, Bernard Cazeneuve (PS) ne fait donc pas mystère de son engagement pour la réunification. Granville aurait aussi beaucoup à gagner en terme de financement de son développement (liaisons avec les îles anglo-normandes, désenclavement ferroviaire et routier) si la ville et le port pouvaient bénéficier du soutien de la 5ème ou 6ème région de France : car c’est bien le poids que pourrait peser la Normandie, en terme de PIB si nous étions unis…

Les deux actuels présidents régionaux Duron et Le Vern (PS) ont compris cet enjeu et depuis deux ans, les dossiers de la « coopération régionale renforcée » progressent (liaison ferroviaire améliorée entre Caen et Rouen ; l’aéroport international normand ; l’agence portuaire régionale ; Normandie métropole ; l’Etablissement public de Normandie ; le pôle universitaire normand, le comité de tourisme ; la liaison rapide « Normandie vallée de Seine » etc…). Mais cette politique des petits pas reste fragile tant les méfiances accumulées depuis plus de 30 ans par des calculs politiciens aussi médiocres que mesquins demeurent (Les deux « bas » normands les plus « bas » récemment observés : M. Garrec ; ex président de la « Basse » Normandie et Mme Lebrethon maire de Caen, avec une faute d’orthographe, biensûr…). Les partisans du statu quo de la division se sentent dépassés dans l’argumentaire : l’idée de la réunification progresse partout en Normandie notamment chez les décideurs de la vie sociale et économique, les élus locaux doivent alors prendre position pour ou contre. Il serait donc intéressant de savoir qui dans la Manche est réellement contre cette idée de bon sens et quels seraient les arguments qui pourraient être développés pour défendre une telle idée si ce n’est les arguments de la peur (on va se faire envahir par les « Hauts » Normands) ou du déclin (je préfère être la poubelle nucléaire à lisier du Grand Ouest que de prendre le risque de reprendre mon destin en main…).

Florestan d’Hudimesnil

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Commentaires
Z
Comme Grantemesnil, j'avais écrit il y a quelques mois une lettre de protestation trés policée...<br /> (cf archives de l'Etoile de Normandie)<br /> J'avais donc reçu une réponse semblable à celle de Grantemesnil, laissant de plus entendre qu'il s'agissait la d'un débat quelque peu folklorique!<br /> <br /> Le rappel de Grantemesnil m'a poussé à réitérer ma protestation, avec l'argumentaire que les étoiliens connaissent bien maintenant, mais un petit peu plus ferme tout de même...<br /> <br /> Je vous fais partager mon courrier...et la réponse:<br /> <br /> Le 26/01/07<br /> <br /> Quelle surprise de voir le Mont Saint Michel apparaitre dans le guide bretagne!<br /> Il n'existe aucun argument pour le mettre en bretagne.<br /> Le Mont est indiscutablement, historiquement, géographiquement, culturellement et spirituellement en Normandie. Je rajouterais même politiquement!<br /> Le Mont est construit sur ordre d'un duc normand, par des normands, avec de la pierre normande, dans le plus pur style architectural normand...<br /> Le seul apport des bretons est l'incendie du Mont au 13eme siecle... <br /> IL s'agit la soit d'une grave erreur soit d'un attentat contre la Normandie et les normands.<br /> Croyez moi cela n'a rien de folklorique.<br /> Je vous saurais gré de bien vouloir donner suite à ce courrier.<br /> Merci.<br /> <br /> <br /> Le 29/01/07<br /> <br /> Bonjour, <br /> <br /> Oui, nous le savons tous ici. L'auteur a du vouloir faire une blague... <br /> Ne vous inquietez pas, l'erreur sera rectifiée. <br /> <br /> Bien cordialement,<br /> <br /> L'Equipe Lonely Planet<br /> <br /> <br /> <br /> A suivre...
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F
La priorité reste avant tout la reconquête de la Normandie par elle-même avant d'envisager des regroupements aussi illusoires qu'inutiles: nous avons besoin de territoires clairement identifiés et non pas de vagues "espaces" plus ou moins légitimes au regard de l'Histoire. Pour éviter les effets néfastes de la métropolisation parisienne, lilloise et nantaise ou rennaise, pour continuer à exister il faut d'abord la réunification des cinq départements normands au sein d'une même région administrative...<br /> <br /> 1) Il faut la réunification normande<br /> 1 bis) Il faut une métropole normande<br /> <br /> 2) après on peut envisager un club de projets pour le Grand ouest français au niveau européen mais seulement sur la base de régions légitimes et clairement identifiées par leurs habitants: une vraie Normandie (à 5), une vraie Bretagne (à 5)et des vrais Pays de Loire (d'Angers à Bourges en passant par Tours, Orléans et Le Mans)<br /> <br /> La prise de conscience doit continuer: la priorité c'est avant tout la reconquête normande dans les cinq départements normands...<br /> <br /> La Manche par exemple peut être considérée comme une véritable terre de mission: face à l'inertie ou la médiocrité imbécile du personnel politique dans ce département...<br /> <br /> Le collectif "Bienvenue en Normandie" s'emploie à interpeller par courrier tous les candidats et les élus sortants des prochaines élections législatives sur la question de la Réunification: M. Bas a été interrogé. Gwenhaël Huet, Danièle Jourdain-Méninger, Claude Perrier, Alain Cousin, Claude Perrier, François Digard, François Brière et quelques autres encore seront interrogés par courrier...<br /> <br /> Enfin la rédaction de la Manche Libre a reçu notre texte "Vivre et travailler au pays", celui qui est publié ici avec quelques modifications pour tenir compte de l'actualité, pour présenter notre Collectif aux lecteurs du premier hebdomadaire français d'infos régionales...<br /> <br /> Tout le problème vient que nous faisons de LA politique et que nous devons nous adresser AUX politiques...<br /> <br /> Florestan d'Hudimesnil
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E
Bonjour,<br /> <br /> de ce que j'ai lu, Mme d'Ornano est pour, mais, pourquoi pas pour une Normandie-Maine avec nos voisins Mayennais et Sarthois. Une Normandie Plantagenêts en qq sorte. Donc oui, mais why not plus grand. Un peu comme M. Ruffenacht qui dit oui, mais why not avec la Picardie.<br /> <br /> Faisons d'abord le oui, et pis on verra qui ça attire !!<br /> <br /> enfin, M. Gatignol est député et non sénateur.
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N
Juste quelques petites remarques au sujet de cette liste.D'abord ce n'est pas michel mais alain tourret ensuite je crois savoir qu'anne d'ornano c'est prononcée en faveur de la réunification(information restant à vérifier)
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F
Rajoutons à la liste des élus favorables à la Réunification:<br /> <br /> François BAYROU, président de l'UDF et candidat aux présidentielle<br /> Jean-Jack QUEYRANNE, président du CR de Rhône-Alpes<br /> <br /> Quant à Jean-François LEGRAND, c'est une girouette: donc faisons souffler le vent le plus fort possible et dans la bonne direction...
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