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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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18 octobre 2010

La pomme fait l'union en Normandie

D'accord nos cidriers sont incapables de demander une appellation normande du cidre de Normandie mais on peut se réjouir que nos politiciens les plus avisés s'entendent sur la pomme, qu'elle soit du PS ou de l'UMP. Il y va de la santé de nos enfants et de la pérénité de la pomme normande.

Quand Bruno Lemaire est agacé par les pommes chiliennes, il trouve un renfort auprès de Laurent Beauvais… Donc plus de pomme de discorde en Normandie entre le PS et l’UMP mais une pomme d’entente.

Philippe Cléris pose justement la question : Allons-nous vers un plan normand d'alimentation dans les cantines scolaires?


Michel H. A. Patin

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Commentaires
F
Sur le site de Paris Normandie, cet article...<br /> <br /> La Normandie gourmande s'illustre à Paris<br /> <br /> Jusqu’à demain jeudi à Paris Nord Villepinte, au salon international de l’agroalimentaire (Sial), des produits nouveaux normands sont à l’honneur.<br /> <br /> Evidemment, si les industriels normands courent le Sial à Paris, c’est pour y trouver une reconnaissance nationale et internationale. Mais la plupart de leurs produits sont déjà ou vont être en rayon prochainement, dans les grandes et moyennes surfaces, dans les épiceries fines ou spécialisées… « Le Sial, c’est toujours une belle vitrine pour nos produits, nos producteurs, l’occasion de prospecter, de trouver de nouveaux débouchés, souffle Daniel Génissel, président de la chambre d’agriculture de Normandie basée à Caen. Voilà pourquoi nous poussons les entrepreneurs à venir ici, et que nous les saluons par le biais d’un prix de l’innovation ».<br /> A ce petit jeu mercredi matin, c’est un Bas-Normand avec des origines japonaises qui décroche la meilleure innovation. Ariake, avec une petite unité de production à Alençon, propose des bouillons pour la cuisine. « S’il en existe déjà sur le marché, celui-là est particulier, plaide Laurent Seguin, directeur commercial. Dans d’énormes cuves sont cuits durant sept heures autant d’eau que d’ingrédients, avec une base de poulet (du vrai), de viande rouge (rumsteck) ou de coquillages (clams, amandes) et de légumes frais. Une fois la réduction obtenue (à glace), on y ajoute de la viande fraîche, on déshydrate le tout sous vide à 25 degrés et on obtient un superbe mélange qu’on conditionne dans des sachets comme du thé. Il n’y a plus qu’à faire chauffer de l’eau et à infuser à la maison ».<br /> Les restaurateurs se sont déjà approprié ce produit bientôt disponible dans le commerce. Mais pour se laisser plus rapidement convaincre, il suffit de plonger un doigt dans un pot de caramel de pommes dieppois. Ce sont les résidents de l’atelier protéger d’Etran à Martin-Eglise (un CAT) qui le fabriquent. « Du sucre cuit, du beurre salé ou non, une belle compote de pommes, et le tour est joué. Enfin, c’est une recette d’un ancien chocolatier dieppois, Jean-Pierre Roussel, qu’il nous permet de travailler. Il nous a formés en conséquence! », glissent Hervé Vassard et Vincent Merlier. Excellent, goûteux, pas trop fort en sucre, ce caramel a également été primé à Paris.<br /> Et si du côté de Luneray dans le Pays de Caux, Lunor décline aujourd’hui des patates Tex Mex ou des légumes de plus en plus bio, que Paillard à Cany se lance dans la daube de joues de bœuf braisé et fêtera bientôt ses 100 ans, l’innovation passe la vitesse supérieure chez Isigny dans le Calvados. « Au menu pour les fêtes, un camembert à la truffe d’été (environ 7 €)… Le fromage est coupé dans la tranche, on y glisse des éclats de truffe et il est affiné ensuite, la truffe parfumant tout le camembert, décrit Luc Lesénécal, directeur de l’entreprise. A moins que vous ne préfériez un camembert aux olives ».<br /> <br /> Coup de coeur<br /> A Hattenville près de Fécamp, La Ferme du manège propose d’excellents yaourts gourmands (180 grammes) agrémentés d’une vingtaine de parfums (myrtille, vanille, citron, caramel au beurre salé... ). Ce qui les distingue? Ils sont fabriqués avec le lait du jour produit par les 100 vaches de la ferme liée à l’usine. Vaches qui disposent de 60 ha d’herbage. Trois grandes enseignes proposent ces yaourts en région, ainsi que des fromagers et épiceries fines<br /> <br /> <br /> Marc BRAUN (Paris Normandie)
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C
dans les cantines ?<br /> <br /> Car sachez-le, les produits locaux ne sont pas toujours à bonne enseigne.<br /> <br /> Il faut accomoder les pommes normandes avec toutes sortes de nos productions locales comme les tripes à la mode de Caen, l'andouille de Vire, l'omelette normande, les boudins, les foies gras et tout ce qu'on possède comme spécialité normande.<br /> <br /> Il serait dommage que la pomme normande se fasse doubler par la pomme chilienne ou asiatique. Défendons nos produits du terroir.<br /> <br /> Mangez des pommes !
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