Les socialistes Caennais devraient arrêter de CANCANER !

... En craignant la "rouenification" de ces Fabiusiens plus Parisiens que Normands. Car tandis que certains s'emplissent leurs pauvres cervelles jusqu'à en perdre la tête (avec ou sans chapeau) dans cette inutile querelle de la capitale, on oublie que Rennes la Bretonne a pris les rênes de la Normandie basse ces trente dernières années! On oublie le bilan calamiteux de la trop modeste et hémiplégique Basse Normandie paillasson des métropolisations voisines.

Ainsi dans l'édition consultable au 10 novembre 2015 de l'hebdomadaire local caennais "Bonhomme Liberté" (groupe Publihebdos filiale de Ouest France) on pouvait lire l'article suivant:

Alors que dans un article paru le 9 novembre 2015 sur le site du Point on pouvait aussi lire ce qui suit...

Avec toujours cette obsession absurde du journaliste pour la peine capitale alors que celle-ci est abolie en France depuis 1981!

http://www.lepoint.fr/regionales-2015/regionales-2015-normandie-caen-a-l-ecart-09-11-2015-1980173_2592.php

Régionales 2015 - Normandie : Caen à l'écart

Caen reste en compétition avec Rouen dans le rôle de capitale régionale. Mais les candidats caennais pèsent a minima au sein des listes du Calvados.

De notre correspondant en Normandie, Jean-Pierre Beuve

Publié le 09/11/2015 à 06:48 | Le Point.fr

Michel Onfray a ouvert son Université populaire à Caen. © ©PHOTOPQR/OUEST FRANCE/MAXPPP/ Stéphane GEUFROI

Deux capitales, (sic!)  Caen et Rouen, pour une seule région. L'équation paraissait délicate à résoudre. Droite et gauche sont a priori d'accord sur la répartition des tâches : Rouen, capitale administrative avec la préfecture ; Caen, capitale (sic!) politique avec le conseil régional. L'État a également réparti ses services : à Rouen, l'industrie et les finances ; à Caen, l'enseignement, la culture et la santé.

« Caen n'est pas abandonné », assure Alain Tourret, député PRG de Vire et militant de la réunification de la Normandie depuis les années 1980. « Le président du conseil régional aura un bureau à Caen et à Rouen », nuance Nicolas Mayer-Rossignol, président sortant du conseil régional de Haute-Normandie et tête de liste PS-PRG.

En 9e position dans le Calvados

Sur la liste socialiste-radicale du Calvados, la ville de Caen n'apparaît qu'en 9e position avec le conseiller départemental PS de Caen, Antoine Casini. « Si malheureusement on perd en décembre, la ville de Caen n'aura aucun représentant PS au conseil régional », s'inquiète ce dernier.

Aux régionales de 2010, la ville de Caen avait obtenu trois élus : deux maires adjoints (PS et PCF) et une conseillère EELV. Et ce n'est pas un hasard si le socialiste Philippe Duron, président de région de 2004 à 2008 et maire de Caen de 2008 à 2014, a en vain déposé sa candidature pour la liste des prochaines régionales.

« Caen est moins présent, mais l'agglomération de Caen est représentée par les trois maires de Mondeville (PS), Fleury-sur-Orne (PS) et Épron (PRG) », argumente le député Tourret. Sauf que de l'aveu du maire de Fleury-sur-Orne, Marc Lecerf (PS), « l'actuel projet d'agglo caennaise est bien rabougri ».

L'exception écologiste

Face à la métropole rouennaise (500 000 habitants) mise sur orbite dès 2011 par Laurent Fabius, l'agglo de Caen (230 000  habitants) cherche toujours à se marier avec une ou deux communautés de communes voisines. Objectif : passer le cap des 250 000 habitants, seuil nécessaire pour la création d'une communauté urbaine.

À l'exception d'une réunion publique, « Caen cause normand » avec Michel Onfray et le journaliste sportif Henri Sannier, Joël Bruneau, maire LR de Caen et président de l'agglo, est resté discret lors du match (sic!) Caen-Rouen. « Caen doit avoir un rôle capital », a-t-il déclaré.

Sur la liste LR-UDI-MoDem, la ville de Caen néanmoins est représentée par un conseiller municipal délégué (3e place) et la maire adjointe à la culture (6e). Seuls les écologistes mettent Caen en avant : quatre Caennais aux quatre premières places, dont trois universitaires. Mais sans doute plus un calcul électoral que régional.

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Commentaire de Florestan:

Caen! Caennais! Qu'en reste -t-il?