Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
Visiteurs
Depuis la création 4 674 083
Archives
22 février 2016

L'EDUC de NORMANDIE (sic!): de la machine à lire à la machine à... baffes!

Mais oui! Ne riez pas... ça existe! Sur le réseau intranet (déjà très complexe) de l'académie de Caen vous pouvez trouver l'application "Educ de Normandie" qui permet (en principe) de gérer le quotidien dans l'organisation du travail (réservation de salles, appel des élèves etc...) mais elle doublonne avec l'application "Pro Note" qui propose, en partie, les mêmes services...

Afficher l'image d'origine

http://www.l-educdenormandie.fr/presentation/

 "Les ducs de Normandie" eh oui! ils ont osé! Mais au-delà de ce jeu de mots un peu minable, on ne trouvera rien dans cette application pour mettre pédagiquement en valeur la Normandie et ses richesses patrimoniales auprès des collégiens et des lycéens de l'académie de Caen. La Normandie n'est qu'un jeu de mot pour évoquer un biscuit "BN" croqué de toute part qui ne donne vraiment pas envie alors qu'il s'agit de déployer les nouvelles technologies numériques dans les classes de l'académie de Caen pour renouveler la pédagogie et accompagner au mieux les élèves dans leurs difficultés d'apprentissage: comme d'habitude, l'Education Nationale néglige le recours aux "ressources locales" qui était pourtant recommandé depuis le manuel d'instruction des instituteurs de Jules Ferry afin de favoriser l'épanouissement de chaque élève...

Ainsi, la "tapisserie de Bayeux" est-elle d'abord visitée par les collégiens britanniques ou par les collégiens français de l'enseignement privé ou catholique...

La priorité n'est donc pas à l'appropriation d'une culture régionale par les élèves mais à faire de la remédiation sur les savoirs fondamentaux puisqu'il faut désormais guérir à défaut d'avoir fait suffisamment de la prévention: Quand on accepte près de 20% des élèves entrant en classe de Sixième ne sachant ni lire, ni écrire et encore moins compter correctement, à quoi bon les emmener dans une nouvelle conquête de la Normandie?

La priorité n'est donc plus à la transmission d'un patrimoine culturel ou historique mais à la réparation de nos pauvres petites têtes blondes dans les miroirs fascinants des nouvelles technologies numériques...

Plus que de connaître les ducs de Normandie, il importe désormais au collégien normand de se rééduquer avec une "machine à lire..."

Explications avec la plus énamourée de nos ministres qui était ce 22 février 2016 en déplacement au Havre pour admirer cette fameuse "machine à lire" (sic!):


 

Publié le 21/02/2016 á 22H50

 Najat Vallaud-Belkacem ce lundi au Havre pour découvrir La machine à lire

Interview. En déplacement aujourd’hui au Havre, Najat Vallaud-Belkacem vient mesurer les effets d’une innovation technologique destinée à aider les enfants à acquérir le plaisir de lire. La ministre de l’Éducation évoque aussi la prochaine rentrée, la réforme du collège et les classes bilangues supprimées en Normandie.

Vous êtes au Havre ce lundi pour une démonstration de La machine à lire, une application d’aide à la lecture. Quels sont les enjeux?

« C’est une manière pour moi de mettre l’accent sur ce qui doit être la priorité absolue à l’école, l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Les chiffres sont flagrants : aujourd’hui, seulement 80 % des jeunes Français ont une bonne maîtrise de la lecture, 8 % sont des lecteurs médiocres et plus de 10 % sont en grandes difficultés, proches de l’illettrisme. Les écarts créés dès l’école primaire ne se rattrapent plus par la suite et ces écarts commencent très tôt. Les études internationales nous indiquent qu’à l’entrée en CP, l’enfant de milieu social défavorisé maîtrise mille mots de moins qu’un enfant d’un milieu plus favorisé. C’est pour cela que je me suis intéressée de près au travail du linguiste Alain Bentolila. Il montre comment la faiblesse du champ lexical maîtrisé génère des problèmes de compréhension, une incapacité à formuler des concepts qui, par définition, rendent impossible l’exercice de la citoyenneté. Le constat est grave ».

L’école a-t-elle les moyens de compenser les écarts constatés?

« Tout est une question de politique publique. Oui, on peut réduire cet écart en faisant en sorte qu’à la petite enfance, on ait un accueil plus précoce à l’école, notamment pour les enfants des familles les plus défavorisées. C’est le sens du développement depuis 2012 de 25 000 places pour scolariser les moins de 3 ans, tout particulièrement en éducation prioritaire ».

Faut-il étendre La machine à lire?

« Je suis très sensible aux initiatives innovantes conduites avec une évaluation scientifique qui sont là pour compléter ce que fait l’école. L’idée de La machine à lire, expérimentée au Havre, est de relever le défi de l’endurance dans la lecture. Pour aider les enfants, il y a des moments où la machine prend le relais. Et parce que c’est ludique, ils accèdent ainsi au plaisir de la lecture. Il y a deux dimensions, prendre le relais et faciliter la compréhension du texte lorsque les mots sont compliqués. Je souhaite que cette innovation puisse être utilisée sur du temps scolaire. Nous avons instauré un dispositif ‘Plus de maîtres que de classes’ dans un certain nombre d’écoles primaires pour identifier et accompagner plus rapidement les difficultés d’apprentissage dès qu’elles naissent. Eh bien nous pourrions imaginer que certains enseignants puissent s’aider de cette Machine à lire pour accompagner certains enfants. Il y a aussi le temps périscolaire. Au Havre, la ville s’est engagée dans un projet de lecture citoyenne qui a vocation à utiliser cette innovation. Je suis toujours heureuse quand je vois que nous sommes capables d’être en complémentarité parce que c’est un apport majeur des nouveaux rythmes scolaires. La maîtrise de la langue française est un sujet qui doit nous rassembler et je salue l’engagement de la ville. Je souhaite qu’elle en inspire d’autres ».

Comment se présente la prochaine rentrée scolaire en Normandie?

« En Normandie, nous sommes confrontés à une forte baisse des effectifs d’élèves depuis dix ans, particulièrement dans l’académie de Caen. Entre 2007 et 2012, cela s’était traduit par 2 426 suppressions de postes. Nous avons fait le choix inverse : 198 postes ont été créés depuis 2012, dont 168 uniquement pour l’école primaire car c’est notre priorité. Par ailleurs, il y a davantage de réseaux d’éducation prioritaire (REP) et réseaux d’éducation prioritaire + (REP +). À la rentrée 2015, six nouveaux établissements sont passés en REP dans l’académie de Caen, ce qui porte le total des REP à 15. Pour l’académie de Rouen, nous avons 31 REP et 14 REP + ».

S’agissant des classes bilangues en Normandie, 95% vont disparaître à Caen, 77% à Rouen et quasiment aucune en Ile-de-France. Pourquoi cette disparité?

« Dans le cadre de la réforme du collège, il était prévu de mettre fin aux classes bilangues des grands commençants, ces classes qui permettaient à une minorité des élèves de 6e de commencer en avance leur deuxième langue vivante alors que leurs camarades la commençaient en 4e. L’explication en est simple: dès lors qu’avec la réforme du collège tous les élèves vont commencer la LV2 plus tôt, c’est-à-dire en 5e et plus en 4e, tous les collégiens auront désormais un bilanguisme précoce généralisé et il n’était pas besoin de maintenir un dispositif dérogatoire. En revanche les classes bilangues dites «de continuité», elles, se maintiennent et même se développent car elles répondent à une autre logique : elles permettent aux enfants qui, à l’école primaire, ont commencé une langue vivante autre que l’anglais, d’avoir accès dès la 6e à l’anglais en LV2 parce que c’est une langue monde qu’il est indispensable de maîtriser tôt ».

C’est une fausse polémique?

« Honnêtement, c’est un sujet plus compliqué que la caricature qui en est faite. La différence d’une académie à une autre ne s’explique aucunement par des privilèges comme je l’entends - c’est d’ailleurs assez curieux de m’accuser de tout et son contraire quand on y pense - mais simplement par le fait que sur certains territoires, comme Caen, les bilangues existantes étaient quasi exclusivement des bilangues de grands commençants, contrairement à Strasbourg, Paris, Marseille ou Montpellier par exemple, d’où l’évolution notable dans les chiffres une fois les nouvelles règles appliquées. Là encore l’explication est simple : dans les académies de Caen et Rouen, davantage tournées vers la Grande Bretagne, à l’école primaire, l’appétence des parents se porte davantage sur l’apprentissage de l’anglais en LV1 que vers d’autres langues : or, je rappelle que seul l’apprentissage d’une autre LV1 que l’anglais permet de s’inscrire dans une bilangue de continuité. J’insiste cependant sur une chose : cette carte des langues vivantes n’est pas figée, bien au contraire. Je souhaite développer au maximum la diversité des langues apprises à l’école primaire car c’est l’intérêt de nos élèves et de notre pays. Et j’ai donc demandé aux recteurs de ces académies de continuer à travailler pour proposer davantage de ces langues en primaire et donc davantage de bilangues de continuité, en lien avec les élus locaux. Il y aura des annonces prochainement qui devraient rassurer chacun ».

La réforme des collèges pourra-t-elle être appliquée de manière satisfaisante à la rentrée à vos yeux?

« Oui, elle verra le jour à la rentrée 2016. Elle s’est accompagnée d’un vrai temps de formation des équipes. Aucun professeur des collèges n’arrivera à la rentrée en découvrant les nouveaux programmes et la nouvelle organisation du collège ».

Des départements comme celui de la Seine-Maritime ont décidé de supprimer, au motif d’économies, les bourses aux collégiens de familles en difficultés. Qu’en pensez-vous?

« Je suis assez frappée par le décalage entre le discours porté au plan national par les responsables de la droite et la réalité de leur action locale. La question de l’éducation est une compétence partagée et le fait que des collectivités de droite décident de couper dans les aides aux familles les plus en difficultés est de très très mauvais augures. Quel plus grave atteinte au fameux mérite républicain que d’empêcher les enfants de travailler dans de bonnes conditions parce qu’il leur faudra choisir entre acheter des livres et se vêtir correctement ? Ce sont des petites économies qui conduisent à de grandes difficultés ».

À propos des rythmes scolaires, est-ce logique que des communes fassent payer les familles pour les activités périscolaires, voire les goûters?

« Cela relève de la compétence des communes. S’il doit y avoir paiement, il est important de tenir compte des capacités des familles en difficultés. C’est ce que font beaucoup de communes et d’ailleurs deux tiers d’entre elles ont fait le choix de la gratuité. Nous les aidons avec le fonds de soutien que j’ai voulu pérenniser et que les communes sont désormais assurées de toucher. »

Après l’affaire de pédophilie révélée par vous-même vendredi, quels garde-fous mettre en place pour éviter de tels cas?

« J’ai diligenté une enquête administrative pour faire la lumière sur cette situation de manière à ce que nous puissions en tirer toutes les leçons comme je l’avais fait après les événements dramatiques de Villefontaine. Depuis un an, nous avons renforcé nos procédures, les contrôles, le dialogue avec la justice. Ce sont des garde-fous importants. Ma détermination est absolue. Je le redis ici, la seule sanction appropriée pour des faits aussi graves, c’est la révocation ».

Propos recueillis par stéphane siret

s.siret@presse-normandie.fr

Le succès de La machine à lire

«J’aime utiliser la métaphore du joggeur. Au début, il marche, puis il court un peu. Lorsqu’il s’essouffle, il marche de nouveau avant de reprendre la course. Au bout d’un moment, il prend plaisir à courir. C’est exactement le même principe», sourit Alain Bentolila. Le linguiste et professeur à l’université Paris-Descartes a donc imaginé, sur ce modèle, une « machine à lire ».

Il s’agit en réalité d’une application numérique pour tablette destinée aux personnes sachant déjà lire, mais se fatiguant vite. Avec cette machine à lire, les premières pages du livre numérique téléchargé sont lues à l’utilisateur. Puis, celui-ci est invité à lire ce qu’il vient d’entendre et à poursuivre sa lecture, sans l’aide audio, sur plusieurs paragraphes. Après un nombre défini de pages, le lecteur peut utiliser de nouveau la version audio avant de revenir à la lecture pure.

«Il est prouvé que plus l’enfant avance dans le livre, plus il lit et moins il écoute», indique le professeur. Cette méthode permet au lecteur de prendre confiance en lui. Il est capable de lire un texte de plus en plus long.

Les seniors aussi

Le Havre a été choisi, il y a deux ans, comme ville d’expérimentation. La machine à lire a donc fait son entrée dans les ateliers périscolaires de certains quartiers. «Le premier constat, c’est que ça donne envie de lire aux enfants. Ceux qui ont eu accès à la machine à lire sont revenus dans les relais lecture sur le temps personnel et avec des copains. Il y a un vrai effet d’émulation. Pour la première fois de leur vie, certains jeunes ont lu un, voire deux livres en entier. Cette machine les met en situation de réussite», constatait la ville du Havre, dès six mois d’utilisation.

Les seniors du centre communal d’action sociale du Havre aussi ont vite trouvé un intérêt à cette application. Une fois l’écueil de la technologie passé, ils ont apprécié de retrouver le plaisir de la lecture sans la fatigue. Rapidement, la fondation SNCF, l’université Paris-Descartes et Le Havre, tous partenaires dans ce projet, ont demandé à Nathan et aux éditions D8 d’augmenter le nombre d’ouvrages disponibles. Le fonds de 150 livres numériques devrait être enrichi de 50 nouveautés par an.

MARIE-ANGE MARAINE

Des syndicats déçus

La ministre de l’Éducation Najat Vallaud-Belkacem n’est pas vraiment en odeur de sainteté auprès des syndicats. «Depuis 2012, le gouvernement dit vouloir donner la priorité à la primaire. Le compte n’y est pas», tance Sandrine Duarte, cosecrétaire département du Snuipp - FSU en Seine-Maritime. Pour elle, «les collègues se sentent méprisés. Si l’on prend en compte le gel de l’indice et la hausse des cotisations, notre salaire baisse! Nous sommes payés bien moins que nos collègues européens, environ 16% de moins.» Même la prime débloquée par le ministère en 2015 laisse un goût amer : «Nous avons eu 400€. Dans le second degré, c’était 1200€. Pourquoi? Nous aussi nous avons un bac +5. Nous ne sommes jamais entendus. Contrairement aux taxis ou aux agriculteurs, quand nous allons dans la rue, comme le 26 janvier, ça ne donne rien alors que nous sommes fonctionnaires d’État.»

«Sans concertation»

Tout n’est pas à jeter depuis que Najat Vallaud-Belkacem est arrivée au ministère avant la rentrée 2014, concède la syndicaliste. Comme la réforme de la maternelle «qui replace l’enfant au cœur de l’apprentissage» ou l’évolution positive des effectifs : «Du temps de Nicolas Sarkozy, on nous a supprimés des postes. Nous en avons récupérés. Mais ce n’est pas encore assez. Il y a toujours des maternelles à 32, 35 enfants, des cours élémentaires quatre niveaux à 28 élèves...»

Du côté de la CGT Educ’action, la ministre ne récolte pas non plus tous les suffrages. «Elle a poursuivi la réforme des rythmes scolaires sans concertation, lancé la réforme du collège sans concertation et revu la carte de l’éducation prioritaire sans concertation», attaque François-Xavier Durand secrétaire départemental seinomarin. Le syndicat s’inquiète aussi de la future carte scolaire et des risques autour de la fusion d’établissements : «On l’a vu sur la répartition des postes pour l’année prochaine: d’habitude, c’est soumis à discussion. Là, une semaine avant que ce soit officiel, c’était mis en ligne sur le site du ministère », continue-t-il, déplorant encore le manque de concertation.

Et, dans les deux organisations syndicales, la réforme du collège, qui va aussi toucher le premier degré interpelle : «Un prof de français de 6e devra travailler avec les enseignants de CM2. Mais avec quels moyens?», questionne Sandrine Duarte.

Aujourd’hui, pas de manifestation prévue au Havre, mais les syndicats veulent tout de même faire remonter leurs récriminations et inquiétudes. Une audience a été demandée à la ministre sur l’heure du déjeuner.

A. Q.

a.quindroit@presse-normande.com

ma.maraine@presse-normande.com


 

Commentaire de Florestan:

On ne va pas tout de même flinguer ici cette expérience de "machine à lire" mais on ne pourra pas empêcher plus d'un professeur de l'enseignement public d'avoir l'envie d'expérimenter la "machine à baffes" quand on sait que l'Education Nationale sait et tait ce qu'elle sait depuis trop longtemps, à savoir, l'effondrement de l'acquisition des savoirs fondamentaux du "socle" depuis la réforme ratée et inaboutie de Monsieur Jospin à l'école primaire; la gestion d'autruche de la difficulté scolaire initiale au collège unique puis au lycée sur le mode du "circulez y a rien à voir!" et, suprême malhonnêteté, le triomphe récent et apparemment de courte durée, du "pédagogisme comptable" qui consiste à noyer les pénibles contraintes du quotidien scolaire dans un discours ouateux quasi orwellien qui permet, de fait, de justifier le refus de l'Etat de ne pas mettre en oeuvre les moyens d'une vraie reconquête scolaire!

Car la grande bataille entre vainqueurs et vaincus, dominants et dominés n'a pas lieu dans les classes préparatoires aux grandes écoles du 6ème arrondissement de Paris mais au... Cours Préparatoire, le vrai, celui de l'école primaire au bout du bourg avec encore des gros tilleuls dans la cour !

En attendant que la Normandie qui cumule actuellement les risques "sociaux-scolaires" avec des taux d'illettrisme parfois au-delà de la moyenne nationale, ne redevienne le "pays de sapience" qu'elle fut autrefois par la généralisation d'une "machine à lire", on risque plutôt d'utiliser... "la machine à baffes"!

D'ailleurs, sur la question des classes bi-langues, le rétropédalage commence:

(source: Ouest France Caen 23/02/16)

reculade_Najat

Publicité
Publicité
Commentaires
D
Bjr,<br /> <br /> <br /> <br /> il y a des rapprochements illogiques !!<br /> <br /> En effet, alors que tout récemment les classes bilangues (de surcroît alors que notre monde moderne nécessite une grande ouverture à l'international et que, précisément, la Normandie souffre d'un déficit de diplômés !) étaient pratiquement "éradiquées" en Normandie (décision de la Ministre de l'Education Nationale) et ce, alors que l'ex-Recteur d'Académie à Caen est devenu Conseiller Education à l'Elysée( !) !<br /> <br /> Hier la même Ministre était au Havre pour y expérimenter la "machine à favoriser la lecture" par les enfants!<br /> <br /> Ce jour, très heureusement, il y a un point normand immensément positif dans Le Figaro (page 9): Caen capitale scientifique de la Normandie "Le Grand Accélérateur de Caen est en cours de rénovation pour produire des atomes dits exotiques" (à lire sans modération)!,<br /> <br /> bien cdlt.
Répondre
Publicité
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
  • Le webzine des Normands pour contribuer à la renaissance concrète de la Normandie après la fin, au 1er janvier 2016, d'une division administrative funeste décidée par l'Etat central jacobin en 1956, sans l'avis de nos concitoyens!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
Publicité