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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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29 avril 2016

CAEN/ROUEN: Le chantage fabiusien d'un nouveau blocage normand!

Vendredi 29 avril 2016, les Fabiusiens rouennais ont décidé de se montrer sur le pont de l'esnèque normande qui vient de prendre la mer...

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Histoire d'humer le bon air vivifiant. Mais ils ont l'air plutôt moroses. On dirait qu'ils ont le foie en vrac à force d'être restés à fond de cale: ils font une bien triste mine en sortant leurs têtes du capot et ils sont même d'une humeur massacrante nos compères fabiusiens!

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La région Normandie qui a son siège directionnel à Caen ne leur revient pas: les clochemerleux seraient-ils de retour?

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MM. Sanchez et Robert ont-ils oublié que la métropole de Rouen est le siège de la préfecture régionale de Normandie?

Mais il y a plus grave: il y a la menace claire de bloquer la dynamique normande qui s'ébranle aujourd'hui en passant d'une stérilité politicienne à une autre!

Après plus de 40 années de déclin normand dans la division régionale, va-t-on voir surgir une stupide guéguerre entre une métropole de Rouen fabiusienne politiquement isolée et la nouvelle région de Normandie?

Faut-il croire, une fois de plus, derrière les déclarations de ces deux pantins, à la présence de "l'universelle araigne" de Laurent Fabius qui sera présent à Rouen le 28 mai prochain à l'occasion des fêtes Johanniques pour prononcer un discours en l'abbatiale Saint Ouen: l'oracle risque d'être écouté religieusement.

En attendant, la région Normandie ne doit pas céder devant ce chantage consternant et moralement vil d'un blocage institutionnel entre la région et la métropole qui doivent aller de conserve pour l'intérêt général normand: il y a quand même de sacrés urgences non?


 

Normandie : les mises au point de F.Sanchez, la réponse de la Région

Normandie : les mises au point de F.Sanchez, la réponse de la Région

14h42 - 29 avril 2016 - par D.L

Le président de la Métropole Frédéric Sanchez et le maire de Rouen Yvon Robert ont formulé plusieurs « demandes fermes » au président de la Région Normandie, Hervé Morin. En cause selon eux : l'équilibre de la Région entre Caen et Rouen sur des sujets comme l'Agence de Développement, les directions opérationnelles, les agents régionaux ou le lieu où se tiennent les sessions plénières. La Région leur répond.

Ils assurent adopter un « ton mesuré » mais montrent tout de même les muscles. Vendredi 29 avril, le président de la Métropole Frédéric Sanchez et le maire de Rouen Yvon Robert ont formulé des « demandes fermes » à Hervé Morin, président de la nouvelle Région Normandie. Des requêtes relatives à l'équilibre régional entre Rouen et Caen.

En cause selon les deux élus socialistes : le maintien de l'emploi public à Rouen, la répartition des directions régionales entre les deux grandes villes et les modalités d'installations de l'Agence de Développement pour la Normandie. Sur tous ces sujets, Yvont Robert avance que les engagements pris par Hervé Morin ne seraient pas équilibrés.


Les agents régionaux désertent-ils Rouen ?

L'emploi public d'abord : « Il faut que Hervé Morin respecte les engagements pris et maintienne l'emploi public à Rouen. L'organigramme diffusé récemment indique qu'il n'en sera pas ainsi. Toute diminution d'emploi est un coup porté à l'économie », déplore Frédéric Sanchez. D'après lui, l'orientation actuelle aboutirait à ce que 2/3 des effectifs soient à Caen et un tiers à Rouen. Et l'élu va même jusqu'à évoquer une mobilité fonctionnelle imposée.


"Respect et équilibre, les maîtres-mots"

Sylvie Smaniottio, magistrate à la Cour des Comptes et déléguée générale à la fusion et à la réorganisation au sein de la Région, défend la démarche du nouvel exécutif : « Depuis le début, les deux maîtres-mots sont équilibre et respect. Le président a rencontré tous les agents, dans leurs bureaux, puis de façon collective. Nous leur avons envoyé un questionnaire pour sonder leurs souhaits, notamment de mobilité géographique et fonctionnelle. Une cellule d'accompagnement a été mise en place, presque tous les agents ont été reçus. » Rien n'aurait donc été imposé aux agents, tout aurait été concerté. Et si la déléguée générale reconnaît que « c'est compliqué, qu'il y a de l'anxiété », elle assure que les peurs du début se sont « atténuées car les agents se rendent compte qu'ils sont écoutés. »


Où sont les directions opérationnelles ?

La répartition des directions régionales pose également problème à Frédéric Sanchez et Yvon Robert. Selon eux, « l'engagement pris par Hervé Morin pour équilibrer les directions n'a pas été tenu, l'organigramme prévoit quatre directions à Caen, deux à Rouen ». Faux, selon Sylvie Smaniotto pour qui les directions opérationnelles ont été organisées selon une juste répartition : « Il y a cinq directeurs régionaux adjoints. Deux à Caen, deux à Rouen et une consacrée à l'éducation, à la jeunesse et à la culture, en bi-site. » Et la magistrate d'assurer que de nombreux grands chantiers seront traités à Rouen comme « les transports, l'aménagement du territoire, le lycée du futur ou le grenelle de l'apprentissage ».


L'Agence de Développement réduite à une "boîte aux lettres" à Rouen ?

Deuxième grand sujet qui indispose les élus socialistes, l'Agence de Développement pour la Normandie (ADN). Frédéric Sanchez appelle à « une correction urgente des modalités d'installation de l'ADN. Cette agence installe l'ensemble de ses organes de décision à Caen. Quelques bureaux, nous dit-on seraient en discussion pour le secteur du Madrillet. » Et le président de la Métropole de craindre que ces locaux ne soient « qu'une simple boîte aux lettres ». L'élu assure que beaucoup d'entreprises du territoire s'émeuvent de cette situation. « Quel est notre intérêt à ce que l'antenne rouennaise ne soit qu'une simple boîte aux lettres », rétorque Sylvie Smaniotto qui annonce la présence d'agents à Rouen et un équilibre de cette agence dont les locaux principaux s'installeront dans l'ex-Myriade à Caen.


Des plénières "à égalité à Caen et Rouen"

Enfin, la Métropole et la Ville demandent à ce que les sessions plénières du Conseil régional se tiennent à égalité à Caen et à Rouen. Pour l'heure, Hervé Morin s'orienterait vers des sessions uniquement à Caen. Les conseillers régionaux devront voter sur ce sujet le 26 mai. Selon Frédéric Sanchez, si Hervé Morin concentrait le siège de la Région, es sessions plénières et la majorité des directions à Caen, « il enverrait le signal d'un déséquilibre particulièrement important et symboliquement désastreux ».


La menace d'une délégation de compétences

Toutes ces revendications faites, Frédéric Sanchez a dégainé un dernier moyen de pression. Si l'exécutif régional n'accédait pas à ces demandes, « le projet Normand sera amputé du projet métropolitain. La Métropole dispose d'un outil institutionnel qui serait de demander à la Région de déléguer ses compétences sur le territoire métropolitain; C'est un acquis de la loi Mactam. » Et si l'élu assure qu'il « ne souhaite pas le mettre en oeuvre », le message est clair : « Ce n'est pas encore la crise, mais on s'en approche !»


 Commentaire de Florestan:

Les ingrats! Alors que la Région Normandie vient de débloquer l'argent nécessaire permettant un grand chantier ambitieux de restauration à l'identique des décors extérieurs de la cathédrale de Rouen (la flèche et la charpente du chevet) en signe de bonne volonté, cette soudaine sortie des Dupont et Dupond de la Fabiusie rouennaise tient de la muflerie!

Parler à Dieu plutôt qu'à ses deux ... saints!  C'est la seule solution!

S'il doit y avoir un accord de fond entre la Normandie et Rouen, il se décidera directement entre Hervé Morin et Laurent Fabius...  Après l'accord Morin / Valls sur les trains Intercités, pourquoi pas un accord Morin/ Fabius pour une alliance Normandie/ Métropole de Rouen pour que la métropole tire toute la région et que la région tire la métropole dans le cadre innovant du réseau Caen- Rouen- Le Havre? Il va d'ailleurs bien falloir restaurer un cadre de pilotage efficace entre les trois villes!

Au colloque du Havre en 2010, Laurent Fabius, sybilin n'avait-il pas dit lui-même que Rouen "ne devait pas être un territoire interstitiel"?

Pour que l'ancienne seconde ville de France ne soit pas définitivement condamnée à n'être qu'une seconde Mantes-la-Jolie dans un Axe Seine piloté par le Grand Paris, il ne lui reste plus que la carte de la Normandie!

Et cette opportunité normande pourrait se définir ainsi pour les trois villes concernées:

Trouver dans une ville ce qu'on ne saurait trouver dans les deux autres.

Et pour Rouen, notre métropole normande: trouver à Rouen ce qu'on ne saurait trouver ailleurs... Y compris ce qu'on ne saurait trouver à Paris puisque Rouen, ancienne seconde ville de France, doit être, désormais la métropole préfecture régionale normande dans le cadre d'un réseau urbain avec Caen technopole capitale politique régionale et Le Havre, port international.

La Randstad Holland (Amsterdam, La Haye, Rotterdam) ça marche plutôt bien... Pourquoi pas aussi en Normandie?


  • Lire aussi dans Paris-Normandie car les lecteurs de la Normandie occidentale couverte par le monopole de diffusion Ouest France n'ont pas encore accès aux informations suivantes:

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/5642679/accueil/conseil-regional-de-normandie--l-heure-de-la-partition-entre-rouen-et-caen

 Conseil régional de Normandie : l’heure de la partition entre Rouen et Caen

Publié le 29/04/2016 á 22H50

Politique. Fusion des deux anciennes régions oblige, la Normandie planche sur l’organigramme de ses services autour de cinq grands pôles. Ils seront répartis entre Rouen et Caen. Une réunion de concertation avec les syndicats est prévue lundi.

«Je le dis au personnel: vous respecter, ce n’est pas vous promettre que rien ne va changer, c’est vous dire avec honnêteté qu’il y aura des changements, mais qu’ils se feront dans le respect de vos vies professionnelles et personnelles.» Le 4 janvier dernier, jour de son accession à la présidence de la Région Normandie, Hervé Morin trace les perspectives pour les quelque 1 200 agents que comptent les anciennes Haute et Basse-Normandie, tout juste réunifiées. Quatre mois plus tard, l’heure est aux grandes manœuvres. Le chantier a été confié à Sylvie Smaniotto-Gruska, ex-Cour des comptes et candidate UDI aux Municipales à Créteil, en 2014. En principe, un comité technique paritaire doit avoir lieu lundi entre l’administration de la Région et les syndicats pour finaliser le futur organigramme. La réunion pourrait être reportée à la demande des organisations syndicales.

Initialement, Hervé Morin voulait organiser ses services autour de six grandes directions, quatre à Caen, deux à Rouen. Il y en aura finalement cinq. Le pôle « Ressources, performance et évolution de la collectivité », qui regroupe les finances et les ressources humaines, sera basé à Caen même si certains services (informatique, bâtiments régionaux et vie au travail) seront « bi-site », autrement dit un pied à Caen, l’autre à Rouen. À Caen également, le pôle « Économie » qui couvrira l’agriculture, le tourisme, l’enseignement supérieur, l’environnement, les énergies et le numérique. L’ADN, Agence de développement de la Normandie, est « bi-site » et la future Agence de l’attractivité, rattachée à Caen, sera basée au Havre. Le pôle « Jeunesse et Formation » sera « bi-site » avec des spécificités : les lycées, la carte des formations et l’apprentissage seront gérés depuis Rouen, Caen prenant en charge la formation professionnelle, la jeunesse, le sport, la culture et le patrimoine.

Il reste donc deux grandes directions à Rouen : « Stratégie, Europe et international », ainsi que « Transports et aménagement ». La nouvelle mission Intercités, destinée à préparer la régionalisation des trains signée lundi dernier au Mont-Saint-Michel avec Manuel Valls, sera basée à Rouen, tout comme les services Mobilités et infrastructures et Aménagement du territoire. La mission d’études et d’économie du transport, qui aura notamment à gérer les transports scolaires, devrait, quant à elle, se trouver à Caen.

De Rouen vers Caen

Combien d’agents resteront en définitive à Rouen et Caen ? Jusqu’à présent, les quelque 1 200 agents étaient environ autant dans une ville que dans l’autre. A terme, le chiffre n’est pas véritablement connu et dépend encore d’ajustements à négocier avec les organisations syndicales. «Tout a été fait dans la transparence et la concertation», souligne l’entourage du président de Région. Deux forums des métiers ont eu lieu à Caen le 21 avril et à Rouen cette semaine. Chaque agent a pu y découvrir les différents métiers offerts par la collectivité. En parallèle, un premier questionnaire a permis de dresser un état de la mobilité potentielle. Selon cette étude, 20 % des agents de la Région à Rouen seraient prêts à bouger vers Caen alors que le chemin dans le sens inverse n’intéresserait que 12 % des agents caennais. Un second questionnaire est en cours auprès du personnel. Il s’agirait cette fois-ci pour chacun de dire s’il est mobile d’un service à l’autre mais sans changer de ville.

ST. S.

s.siret@presse-normande.com

Le torchon brûle avec la Métropole

Hier, Frédéric Sanchez et Yvon Robert ont tenu à mettre en garde Hervé Morin sur «le manque d’équilibre» de l’organisation territoriale en passe de se mettre en place. Évoquant «un manque de respect» pour la Métropole compte tenu de son poids démographique et économique au sein de la Normandie, ils pointent les choix du président de Région qui pourraient «avoir des conséquences graves sur l’avenir de la métropole rouennaise». Départ massif des emplois du conseil régional vers Caen, choix de ne pas tenir de manière équitable les séances plénières de l’assemblée régionale, installation de l’Agence de développement de la Normandie à Caen avec «une simple boîte à lettres pour Rouen», les deux élus socialistes préviennent : si Hervé Morin ne change pas de cap, ils pourraient décider de faire jouer une disposition de la loi qui a créé les Métropoles, celle qui consiste à reprendre à son compte les compétences attribuées à la Région, notamment sur le plan économique. «Mais nous n’en sommes pas là», ont-ils néanmoins tenu à rassurer.


Commentaire de Draner sur la façon de rendre compte par la presse quotidienne régionale en Normandie de ce nouvel épisode clochemerleux:

Comme d'habitude j'ai acheté "Paris NORMANDIE" ce matin à Caen (buraliste habituel) mais en tout état de cause "Paris NORMANDIE" est essentiel à la pédagogie de la Normandie et de la renaissance nécessaire (ou émergence impotante) d'une opinion publique normande dans le contexte actuel (Nouvelle Normandie Unifiée); en effet, dans le journal de ce jour, les pages 4 et 11 contribuent bien à l'émergence d'une opinion publique normande "Rouen-Caen" et "Question d'équilibre" or, dans le même temps, disposant d'Ouest-France Caen (déposé par porteur à domicile ce matin à Caen) je n'y trouve aucune information de même nature et ce n'est que par l'intermédiaire du numéro d'Ouest-France dédié "Normandie" (à la "Une" et p.8) mais diffusé papier qu'en Normandie orientale (et dont je ne peux disposer donc que par voie numérique étant en Normandie occidentale caennaise) que je prends connaissance de ces informations par Ouest-France sur ce sujet, tout à fait prégnant pour la Normandie ô combien !!

 Commentaire de Florestan:

Précision sur le désir de mobilité: 20% des agents rouennais disposé à partir à Caen et 12% des Caennais disposés à partir à Rouen sachant que ces mobilités concernent surtout les directions des services sur un total de 1200 agents régionaux (notamment dans les lycées) Cela ne concerne au final que peu de personnes! Autre précision à dire: en France, parmi les nouvelles régions, la Normandie est celle qui fait preuve du plus grand avancement dans sa réorganisation. Ailleurs on est tenté d'attendre l'après 2017. Hervé Morin en reconnaissance de la bonne volonté normande négocie avec le gouvernement une rallonge budgétaire et un instrument de gestion spécifique (c'est l'autre négociation en cours avec celle des trains!)


 

  •  Lire le document officiel diffusé par MM. Sanchez et Robert lors de leur inutile conférence de presse du 29 avril 2016:

CP_FS_YR_organisation_R_gion

  • Voir le reportage diffusé sur FR3 Haute-Normandie:

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/organisation-des-services-de-la-region-nous-disons-stop-previent-frederic-sanchez-988373.html

  •  Ainsi que l'article paru sur Normandie actu:

http://www.normandie-actu.fr/dans-la-grande-normandie-retour-de-la-guerre-des-clochers-entre-rouen-et-caen_200601/

 

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Commentaires
B
Ne manquez pas la tribune de Nicolas Escach sur "Normandie Métropole", (normandie-actu) dans la droite ligne actualisée des raisonnements déjà tenus par les 15 géographes.
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D
Re bjr,<br /> <br /> <br /> <br /> à compléter aussi par la lecture de l'article "Une question d'équilibre" de la p. 11 du quotidien de ce jour "ParisNORMANDIE" 30 Avril et le point fait sur-le-champ (i.e. dès hier après-midi) par une représentante, conseillère régionale et sénatrice- de la Région,<br /> <br /> bien cdlt.
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D
Bjr,<br /> <br /> finalement bien sûr, cf. l'article p. 4 du quotidien "ParisNORMANDIE" du 28 Avril et celui p.4 aussi du même quotidien de ce jour, là sur "Rouen-Caen",<br /> <br /> <br /> <br /> on peut espérer que le "groupe des quinze géographes normands" ne soit pas loin, heureusement, d'avoir raison (notamment les trois plus grandes villes de la Normandie en réseau) à travers l'économie générale de ses clairvoyantes réflexions :<br /> <br /> si c'est bien la configuration finale entrevue maintenant (il est encore temps, à tout le moins, de l'espérer) avec<br /> <br /> - un chef-lieu de région à Rouen (pouvoir "administratif" de l'Etat sur le territoire régional),<br /> <br /> - un Hôtel de Région et les réunions du Conseil Régional de la Normandie et de ses commissions à Caen (pouvoir Politique),<br /> <br /> ainsi que ,<br /> <br /> - et en toute logique un CESER certes basé à Caen mais "ses 156 membres pourraient sièger dans une autre ville" :<br /> <br /> là il y a lieu de penser tout naturellement au Havre bien sûr (mardi soir dernier au "Pavillon de Normandie" Bassin St Pierre de CAEN la présentation très didactique du jeune Directeur de l'AURH -Agence d'Urbanisme du Havre et de l'Estuaire de la Seine dont le Président est naturellement Monsieur Edouard Philippe- nous laisse penser, tout à fait, à cette vraie logique, sans que ce sujet précis soit abordé précisément) !, <br /> <br /> <br /> <br /> bien cdlt
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B
Du coté de la Place du vieux Marché, la très ancienne influence anglaise n’a pas perdu ses droits, réclamer plus ou sinon « Rouexit »…<br /> <br /> pour ne pas perdre un pouce de son hégémonie.<br /> <br /> Du coté du Havre on connaît cette réaction depuis cinq siècles… (Haropa, Direction des Douanes, pour les plus récents, mais la liste serait très longue et fastidieuse…)
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