Sur l'Etoile de Normandie, nous avons toujours pensé que cette école de commerce nommée d'un sigle abscons ou d'un nom étrange n'était qu'un attelage baroque faisant le grand écart dans le Bassin parisien entre Rouen à l'Ouest et Reims à l'Est au risque de voir l'une ou l'autre des deux villes perdre les rênes d'un machin patronné à sa création par Michel Edouard Leclerc le célèbre épicier... breton!
A l'époque (2013) nous avions déploré que les décideurs Rouennais aient décidé de ne pas jouer la carte d'une grande école de commerce pour la Normandie en s'associant à l'Ecole de Management de Normandie (EMN) déjà établie au Havre, Caen, Deauville et... Oxford
http://normandie.canalblog.com/archives/2013/05/17/27178931.html
La lecture de la brève à lire ci-après (Lettre Eco Normandie datée du 12 avril 2019) nous donne hélas quelque peu raison:
Refuser de jouer la carte normande c'est la façon rouennaise de se tirer une balle dans le pied ou de se faire... sabrer au champagne!
Cela n'annonce rien de bon, puisque Rouen perdrait donc le commandement de son école de commerce, et tout ce que cela impliquerait en termes d'attractivité sur le long terme (Reims aurait bien évidemment davantage de proximité avec les décideurs pour développer de nouveaux cursus, de nouvelles collaborations à l'international...).
Il n'y aura donc plus que l'école de Management de Normandie qui possèderait son pilotage dans la région.
Nicod et Marommix, expliquez-nous donc en quoi Morin (voire même Caen) est responsable.