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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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18 juin 2019

NOUVEL APPEL du 18 JUIN: Le CENTRALISME PARISIEN politico-médiatique est le VRAI TOMBEAU de la Francophonie

Osons la comparaison...

La Francophonie est une galaxie qui perd de son éclat et de son attraction puisqu'elle tourne autour d'un... trou noir!

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La France qui, actuellement, par des révolutions sociétales et générationnelles redoutables est en train de renvoyer dans les poubelles de l'Histoire tous les cadres et fondements collectifs qui ordonnaient sa civilisation depuis plusieurs siècles (lire l'essai de Jérôme Fourquet "l'archipel français"), laisse aussi partir sa langue:

Le coeur du trou noir c'est Paris où des armées de pubeux, de créatifs, de communicants, de journalistes, de plumitifs, d'éminences grises de ministères, de politiciens, jusqu'au chef de l'état lui-même, font subir à la langue de Corneille, Molière et Racine les pires avanies! Toute cette pétaudière vaniteuse se roule régulièrement dans la fange linguistique du globish, voire du "frangliche" en s'en trouvant contente, n'y trouvant rien à redire tout en infligeant, en permanence, une leçon de moraline anti-identitaire contre les vrais défenseurs d'une Francophonie qui commence dès le périphérique parisien passé avec le français de nos régions, les dialectes, patois et langues régionales dont la richesse syntaxique pourrait être un recours, sinon une défense contre l'étouffement du français officiel de Paris par le globish: dans cette aventure, la connaissance du patrimoine linguistique de la langue normande et du franco-normand qui avait colonisé l'Angleterre, du XIe au XIVe siècle, en forgeant l'anglais moderne bâti sur plus de 35000 mots d'origine française devrait être prioritaire dans nos collèges et lycées, tout particulièrement en Normandie!

Mais pour ce faire, il faudrait une curiosité intellectuelle que l'actuel oubli de soi ou mépris de soi ne permettent plus!

Nous pensons, de toute façon, que l'avenir de la langue française ne se joue plus en France puisque la capitale parisienne a capitulé en tant que capitale de la République mondiale des lettres: l'universalisme boutiquier du globish a triomphé sur l'universalisme des Lumières françaises quitte à massacrer, en passant, la langue originale du grand Shakespeare (car il faut dire aussi que les Anglais prennent enfin conscience  que le globish, essentiellement un sabir anglo-américain, détruit aussi leur langue...)

L'avenir de la langue française c'est la Francophonie de tous les outre-mers (à commencer par le Québec qui résiste avec vaillance et l'Afrique de l'Ouest qui se développe, sans oublier nos frères dans la langue de Belgique et de Suisse) mais c'est aussi un front de résistance à constituer de toute urgence en France même à commencer dans la place parisienne en reprenant autour de nous, de façon systématique, la moindre désinvolture vautrée dans le globish qui nous vient aux oreilles! Un môle de résistance qui doit, enfin, puiser des forces renouvelées dans le patrimoine syntaxique des langues régionales de France...


 

Dimanche 16 juin 2019, une tribune parue dans le Parisien a fait enfin parler d'elle dans les rédactions parisiennes. Nous vous la proposons ici-même en version intégrale depuis le site Agoravox:

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d'autres langues, et avec trop d'autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l'hégémonie anglo-américaine.
À l'occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l'appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s'adresse au Président de la République française.
Au chef de l'État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l'exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
 

Monsieur le Président de la République,

 

 La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l'anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d'oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d'une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d'un maître particulier.
 
 Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l'esprit de résistance.
 
 – Il est demandé au chef de l'État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l'exemple : en renonçant à l'emploi de l'anglo-américain à l'étranger, quand le français demeure l'une des deux premières langues d'usage d'une majorité d'organes internationaux ; en renonçant à l'utilisation peu digne de l'anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.
 
 - Il est demandé au chef de l'État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l'application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l'article 15 de la Loi du 4 août 1994.
 
 - Il est demandé au garant de la Constitution d'interrompre la marche suicidaire vers l'intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d'une résistance enfin consciente de l'enjeu.
 
- Il est donc attendu du chef de file de l'OIF qu'il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l'organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l'égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l'installation au poste de secrétaire générale de l'OIF d'une personnalité rouandaise membre actif d'un régime politique détestable.
 
- Il est attendu du chef de file de l'OIF qu'il défende l'usage de la langue française, non qu'il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l'anglo-américain comme « langue d'usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d'une majeure partie de l'Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d'usage » – le français – en vaudrait pourtant d'autres.
 
 Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l'État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d'État. Or il se produit très exactement l'inverse.
 
Faute d'avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

 

 Nous vous remercions de l'attention que vous voudrez bien porter à notre requête.
 
Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.
 
 

Signataires

 

Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d'Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l'antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

Associations partenaires

Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L'Heureux, Présidente de l'Association pour le soutien et l'usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l'Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l'Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

Personnes privées

Ilyes Zouari Président du Centre d'étude et de réflexion sur le monde francophone, France. Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard, auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c'est trop dur »), Louisiane, États Unis d'Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l'Académie française, Paris, France. Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du "conseil des droits de l'homme" de l'ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada. Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice ("Mimi Cracra"), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d'anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada. Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l'AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l'organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz, artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l'Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l'ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d'Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada. Ralph Stehly, professeur émérite de l'Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault, conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l'association "Les amis de Bougainville", Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l'Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d'université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L'Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l'association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d'espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d'enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

__________________________________________

 

Avis au lecteur : il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l'ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd'hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php


Commentaire de Florestan:

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Commentaires
C
La région Normandie et l'Education Nationale conventionnent pour favoriser l'apprentissage de l'anglais dans les lycées normands: la FALE pourrait-elle rappeler à Monsieur de Lamaze qu'il serait judicieux de faire connaître tant aux élèves qu'aux... enseignants l'existence d'un patrimoine linguistique anglo-normand?<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.normandie.fr/dispositif-normandie-langue-2018-lets-go?utm_source=Sarbacane&utm_medium=email&utm_campaign=Normandirect%20n%C2%B0%20145<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La Région Normandie propose gratuitement aux lycéens de seconde de développer leur pratique orale de la langue anglaise en proposant un stage intensif en internat recréant les conditions de la mobilité et de l’immersion du 24 au 28 juin 2019.<br /> <br /> <br /> <br /> La Région Normandie, en partenariat avec les Académies de Caen et de Rouen ainsi que la Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt de Normandie (DRAAF), a décidé d'accompagner les jeunes Normands en encourageant la pratique de l’anglais via le dispositif Normandie Langue.<br /> <br /> <br /> <br /> Normandie Langue repose sur la composition de groupes d’élèves issus des filières générales, technologiques et professionnelles ainsi que de différents établissements du territoire. L’animation supervisée par des enseignants d’anglais est prise en charge par des locuteurs natifs, véritables ambassadeurs linguistiques et culturels.<br /> <br /> <br /> <br /> Les élèves souhaitant participer au dispositif sont affectés en fonction de leur lieu de domicile et du nombre de places d’internat garçons/filles du lycée accueillant. L’hébergement dans l'internat des lycées accueillant ou à proximité est obligatoire et proposé à titre gratuit.<br /> <br /> <br /> <br /> Chaque lycée accueillant organise librement le programme de la session en fonction des pays d’origine des intervenants étrangers qu’il a choisis ou de leurs compétences personnelles. Il ne s’agit toutefois pas d’activités scolaires, le but étant de permettre aux jeunes de découvrir qu’il est possible de pratiquer l’anglais de façon ludique. Cette semaine d’immersion est donc organisée en activités diverses (cours de cuisine, ateliers théâtre, sport, sorties, danses….). Il ne s’agit en aucun cas de cours d’anglais et le public cible n’est pas l’élève bon en anglais mais l’élève motivé.<br /> <br /> <br /> <br /> La Région Normandie prend en charge l’ensemble des frais (hébergement, restauration, frais d’organisation des activités et des sorties et rémunération des différents intervenants - professeurs référents, intervenants étrangers et surveillants d’internat). <br /> <br /> <br /> <br /> Les 21 lycées accueillants :<br /> <br /> <br /> <br /> Lycée Pierre Simon de Laplace à Caen (14)<br /> <br /> Lycée André Maurois à Deauville (14)<br /> <br /> Lycée Augustin Fresnel à Bernay (27)<br /> <br /> Lycée Augustin Hébert à Evreux (27)<br /> <br /> Lycée Jacques Prévert à Pont-Audemer (27)<br /> <br /> Lycée Porte de Normandie à Verneuil d’Avre et d’Iton (27)<br /> <br /> Lycée Charles François Lebrun à Coutances (50)<br /> <br /> Lycée agricole de la Baie du Mont Saint-Michel à Saint-Hilaire du Harcouët (50)<br /> <br /> Lycée Saint-François de Sales à Alençon (61)<br /> <br /> Lycée Alain à Alençon (61)<br /> <br /> Lycée Mézeray - Gabriel à Argentan (61)<br /> <br /> Lycée professionnel agricole du Pays de Bray à Brémontier-Merval (76)<br /> <br /> Lycée Michel Anguier à Eu (76)<br /> <br /> Lycée Guy de Maupassant à Fécamp (76)<br /> <br /> Lycée Schuman - Perret au Havre (76)<br /> <br /> Lycée Bernard Palissy à Maromme (76)<br /> <br /> Lycée Georges Brassens à Neufchâtel-en-Bray (76)<br /> <br /> Lycée Gustave Flaubert à Rouen (76)<br /> <br /> Lycée Le Corbusier à Saint-Etienne-du-Rouvray (76)<br /> <br /> Lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen (76) <br /> <br /> Lycée privé Sainte-Thérèse à Rouen (76)
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S
Je supporte de moins en moins et pour tout dire plus du tout ces enseignes de boutique ou magasins qui promeuvent leurs soldes déguisées en French days, spring ou winter machins. Je suis sidéré des produits mis en vente sans traduction du descriptif et du mode d'emploi en infraction de la loi. J'ai fait entre autres l'amère expérience à la boutique du Centre Pompidou où des objets culturels ne portaient leur descriptif qu'en anglais, à ma question sur cette anomalie il me fut répondu avec mépris "ils nous arrivent comme ça", stupéfiant dans un établissement public! Raz le bol aussi des "by" pour par "Eko by Crédit Agricole, Red by SFR, de l'anglo-saxonisation à la mode "french touch", "french doctors" , les "frenchies", "Paris aéroport", "concept car", j'en passe et des meilleurs.
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M
la langue est un véhicule de communication, au lieu de dépenser pour recueillir une langue morte locale, il faudrait dépenser pour assurer la promotion du français en France et dans la francophonie. Un exemple simple, les artistes de la chanson francophone ont toutes les peines du monde à avoir des dates dans les territoires d'outremer et encore plus dans les pays francophones pour une simple raison, on n'aide plus le transport du matériel, fini les tournées de Nougaro en Afrique ou les dates des artistes français au Canada quand ils font une tournée, le simple passage en Nouvelle Calédonie ou à Tahiti devient l'exception. Idem pour les films qui sont de moins en moins diffusés et même pour les chansons qui ne sont pas toujours accessibles sur les plate-formes en ligne et plus sur les supports physiques parce qu'il faut payer des droits supérieurs au produit des ventes.
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