ROUEN: les enfants de Rollon nous sollicitent pour trouver un nom au futur drakkar...
Et nous profitons de cette consultation pour faire notre proposition:
Compte tenu des liens historiques culturels et spirituels entre la Normandie, Rouen et le royaume de Norvège, liens rétablis depuis les commémorations du millénaire de la Normandie fondée par le chef Rollon en 1911, nous suggérons que le futur drakkar qui voguera sur la Seine entre Rouen, l'estuaire et la mer puisse s'appeler le...
SAINT OLAF
Le saint roi fondateur de l'unité norvégienne qui reçut le baptême chrétien en 1014 en la cathédrale de Rouen en Normandie...
https://orthodoxie.com/les-norvegiens-ont-trouve-lendroit-ou-a-ete-inhume-saint-olaf/
Pour tous les Normands un tant soit peu passionnés et connaisseurs de la matière normande, ce choix est l'évidence même!
L’association « Les Enfants de Rollon » veut construire un drakkar viking à l’ancienne, à Rouen. Deux mois après sa création, elle compte déjà plus de 150 membres et le projet avance vite. Reste désormais à trouver un nom au drakkar. À vous de voter !
L’idée de fabriquer un drakkar viking, à Rouen a été lancée en décembre 2019, dans les colonnes de Paris-Normandie, par Gwenahel Thirel, avocat et passionné par la Normandie. Depuis, on peut dire que l’idée a connu un franc succès. L’association « Les Enfants de Rollon », créée pour l’occasion, compte déjà 150 membres. « Le projet est dans l’air du temps, reconnaît Gwenahel Thirel. Il est à la fois culturel, environnemental, sociétal, écologiste, économique et touristique. »
L’objectif est de fabriquer un drakkar viking, à l’ancienne. Le bateau, qui pourra embarquer trente personnes, sera long de 23,90 m pour 5,35 m de large. Trente-deux trous sont prévus pour les rames. Un mât de 14 m de haut, escamotable, permettra de tendre une voile de 120 m².
Coût global du projet : 150 000 €, dont 14 000 € de voiles (Granville), 30 000 € pour les deux moteurs électriques et 70 000 € pour les dix jeunes du chantier d’insertion qui travailleront à la fabrication.
Plusieurs entreprises et partenaires se sont déjà lancés au côté de l’association. Les quinze tonnes de bois nécessaires sont, par exemple, offertes par une entreprise rouennaise. « Aujourd’hui, nous avons besoin que les Rouennais s’engagent, lance Gwenahel Thirel. L’idéal serait la participation de nombreuses PME et une dizaine de grosses entreprises. Le club de la Vatine soutient l’action officiellement. « Les 100 premières entreprises à nous rejoindre auront leur nom gravé sur le bateau », souligne le président des Enfants de Rollon, qui précise qu’une cagnotte Leetchi a été lancée (Drakkar de Rouen).
L’association cherche également une entreprise qui pourrait fabriquer 6 000 rivets en fer blanc. Des contacts sont pris avec une entreprise rouennaise. La Région sera également contactée, de même que l’office de tourisme, les hôteliers, l’Éducation nationale... L’association fourmille d’idées pour faire fonctionner le drakkar à plein régime : sorties scolaires, soirées d’entreprises, anniversaires... Le fonctionnement nécessitera trois salariés : un chef de bord, un marin et un commercial. Une boutique à quai pourrait proposer des souvenirs vikings à la vente. Un musée pourrait voir le jour... Le projet avance à grande vitesse même si le lieu de fabrication n’a pas encore été trouvé.
Les Enfants de Rollon proposent aux lecteurs de Paris-Normandie un sondage sur le futur nom du drakkar. À vous de voter !
Vous pouvez voter en cliquant sur le lien ci-dessus vers la source de l'article de Paris-Normandie: aux dernières nouvelles, "Rudhaborg" Rouen en langue norroise, la langue des Vikings, arrive en tête...