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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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6 février 2011

Vers un logo plus normand en "Basse"-Normandie ?

Depuis la mise en place des régions administratives en France, celles-ci se sont dotés de logos pour s'identifier et se différencier, et de figurer en entête des document officiels, ces derniers étant plus ou moins réussis et changeant parfois au gré des aléas politiques.

Pour rappel voici ceux existants en Normandie dans les deux régions administratives :

Logo_region_basse_normandieSur le logo figure un "drakkar", rappelant l'histoire régionale,  qui épouse la silhouette géograhique de la région. Le vert de l'espérance et de la réputée verdoyante Normandie. Le bleu de la mer bordant la région , la Manche.


logo_region_hautenormandieSur ce logo, on retrouve le vert de la nature, le bleu de la mer avec des vagues,
L'histoire et l'identité régionale se retrouve avec un léopard d'or sur fond rouge.





Une réflexion serait en cours du côté de Caen et de la région pour être mieux identifiée comme région normande donc en reprenant le symbole le plus reconnu et le plus affiché de Normandie : les deux léopards sur fond rouge, symbole de l'appartenance normande :

Blason_Normandie

On pourrait alors voire naître un nouveau symbole régional, décliné comme futur logo pour la région bas normande (version ci dessous librement imaginée par l'auteur de ce billet).

Logo_furtur_RBN

Reste à connaître l'avis de Normands eux même et du débat qui sera fait au sein du CR de Base-Normandie.

Yuca de Taillefer

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Commentaires
A
Toujours la normandie rates son avenir.<br /> <br /> Mettre le blason d'origine NORMANDIE
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F
« COOPETITION » un mot OGM !<br /> <br /> Un oxymore de plus dans la langue de bois publique pour masquer l’absence d’un projet régional normand solidaire et ambitieux<br /> <br /> Les territoires qui sont capables de susciter des politiques publiques volontaristes, ambitieuses et solidaires pour préparer l’avenir surtout en cette période de morosité économique et sociale, sont les territoires dont la « géo-histoire » paraît évidente à tous, tant aux décideurs et acteurs publics et privés de ces territoires qu’aux citoyens qui les habitent.<br /> <br /> Mais quand cette évidence « géo-historique » est discutée faute de la connaître ou de la pratiquer concrètement ou pire, lorsqu’elle est contestée voire méprisée pour des raisons souvent inavouables qui n’ont aucun rapport avec l’Histoire et la Géographie, par une partie du personnel politique censé servir l’intérêt général du territoire, le moment est venu de voir fleurir dans le discours public formaté, l’un de ces « mots valises » au sens paradoxal sinon oxymorique chargé de nous embrouiller les sens pour mieux masquer l’absence d’idées, de réflexion ou de projets de certains élus qui, n’habitant finalement nulle part, n’ont au mieux que des arrières pensées politiciennes pour penser leur prochain mandat en rapport avec la seule géographie du découpage électoral… <br /> <br /> N’être que le géographe de sa circonscription dans le seul but d’être réélu peut générer, chez quelques professionnels de la vie publique locale peu au fait des questions géographiques et historiques, une sorte de « crétinisme » localiste qui peuvent les aveugler sur les vrais enjeux du développement ou de l’aménagement des territoires. <br /> <br /> L’histoire du mouvement intercommunal et de la décentralisation depuis les années 1980 illustre combien il est parfois difficile de concilier l’intérêt général d’un territoire tel qu’il est par l’histoire et la géographie et tel qu’il fonctionne dans ses institutions administratives et politiques…<br /> <br /> COOPETITION <br /> <br /> Voici donc un mélange monstrueux de « coopération » et de « compétition » : un vrai OGM, faute de choisir la coopération pour un projet d’intérêt général qui seul mettrait un terme à la compétition des territoires souvent instrumentalisée par des considérations localistes et des rivalités politiques personnelles…<br /> <br /> Il a été question de ce machin à Evreux le 17 janvier dernier lors du colloque organisé par le conseil général de l’Eure : les débats portaient sur la place de l’Eure à l’heure du « Grand Paris »… Ce sophisme séduisant est donc chargé finalement de nous dire la chose suivante : nul besoin de faire preuve de volonté ou d’un effort politique particulier pour défendre et promouvoir un projet solidaire pour le territoire car la compétition entre les territoires décidera qui pourra coopérer avec qui… <br /> <br /> Autrement dit : la « coopétition » c’est le « darwinisme » de la sélection naturelle des plus forts et des plus compétitifs appliqué à l’aménagement du territoire et qui dédouane de leurs responsabilités, les collectivités territoriales tout comme l’Etat. <br /> <br /> On est, désormais, bien loin de l’idéal républicain de la DATAR d’une vraie décentralisation et on se souviendra de cette fable de La Fontaine qui nous conte les déboires d’un agneau voulant étancher sa soif aux côtés d’un loup sur la même rive pour se faire une assez claire idée de ce que pourrait être la « COOPETITION »<br /> <br /> Alors disons le choses comme elles le sont : cet OGM lexical est employé par des décideurs publics qui doutent de l’évidence normande et de la possibilité d’être réellement solidaires parce qu’ils refusent, pour des raisons qui leur appartiennent, de se mettre au service d’une évidence « géo-historique » sinon d’un BIEN COMMUN légué par l’Histoire et la Géographie. <br /> <br /> Intégrer cette évidence normande est pourtant la seule solution pour mettre en œuvre les politiques publiques et les projets qui permettront réellement de préparer l’avenir sur les circonscriptions électorales des uns et des autres. C’est la seule solution pour que nos territoires aient enfin une signification ou un intérêt dans des ensembles plus vastes ou plus puissants ( la région parisienne, l’Etat français, les institutions européennes)…<br /> <br /> On préférera donc la Normandie vue par Jules Michelet, « le visage de majesté » qu’offre la France au bord de la mer la plus fréquentée du Monde, que cet « espace de coopétition » entre Paris et la Mer entraperçu par quelques technocrates et qui n’éblouira que les imbéciles.<br /> <br /> Autre chose encore : ne pas confondre TERRITOIRE, terre habitée par les humains vivant encore sur le « plancher des vaches » et ESPACE, machin parfois utile qui sert à penser les territoires dans les bureaux .<br /> <br /> Une dernière chose pour finir : il y a tout de même en Normandie des élus « conquérants » au service d’un intérêt général normand, à quelques mois du grand oral national qui tranchera pour savoir s’il est justifié ou non de tant dépenser pour doter la Normandie de la meilleure sortie ferroviaire de la région parisienne… <br /> <br /> Il s’agit, finalement, de décider si la Normandie, en tant que façade maritime et portuaire privilégiée peut encore apporter quelque chose à la France et à l’Europe. Il s’agit donc de décider si l’avenir est encore possible en Normandie, si l’avenir même de la Normandie est encore possible. <br /> Il s’agit de savoir si nos élus seront enfin capables de s’entendre pour se faire entendre …<br /> <br /> Qui sont ces responsables politiques « conquérants » ?<br /> <br /> Tous les élu(e)s qui ont la lucidité de ne pas confondre l’antisarkozysme (aussi justifié soit-il) et l’élaboration d’un vrai projet régional ou qui refusent avec courage de confondre la politique avec la politique politicienne…<br /> <br /> Parmi ces élus courageux, il faut citer, sans flagornerie aucune et en toute objectivité, Laurent Beauvais, le président PS du Conseil régional de Basse-Normandie dont l’action fut décisive depuis le printemps 2009 jusqu’à aujourd’hui pour que le principe d’une desserte ferroviaire moderne et globale de l’ensemble de la Normandie soit la base du consensus ou du débat. N’oublions pas, bien sûr, le geste initial visionnaire de l’ancien maire UMP du Havre, Antoine Rufenacht de proposer une dimension maritime au « Grand Paris » qui, seule, fera de la solution du problème normand un enjeu national.<br /> <br /> A ce tableau d’honneur et à notre grand regret, il manque des noms et non des moindres : l’un se tait et attend tandis qu’un autre se perd dans un combat d’arrière- garde contre l’évidence normande…<br /> <br /> Aux élus volontaires et courageux, on leur souhaite de poursuivre sans avoir peur d’être seuls pour avoir eu raison trop tôt. Quant aux autres, on leur souhaitera vivement de ne pas mener le combat d’arrière-garde… de trop !
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P
Selon moi, les deux cats s'imposent naturellement et historiquement !<br /> <br /> Il y a les deux cats sur les plaques minéralogiques de ma voiture.<br /> Le drapeau avec les 2 cats flotte sur ma maison.<br /> Et j'ai aussi 2 cats, des vrais.
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F
Voyez aussi la dimension politique de l'affaire:<br /> <br /> un félon s'est enfermé dans la caserne Jeanne d'Arc sur la rive droite de la Seine à Rouen: il faut l'en déloger... <br /> <br /> Levern, qui affirme à demi-mots qu'il ne veut pas du TGV normand (trop cher, trop près de 2012, projet trop "sarkocompatible, et projet qui ne fait pas plaisir à Europe Ecologie: la priorité du félon Levern c'est le train de banlieue entre Rouen et Paris et... préserver sa majorité politique au CRHN)<br /> <br /> ... qui refuse l'idée de l'évidence normande (coopérations a minima HNBN; mauvaise volonté du CRHN sur le 11eme centenaire; etc...) risque par ce double-jeu dangereux de flinguer la possibilité de présenter un projet régional normand global en liaison avec le Grand Paris pour présenter favorablement le TGV normand devant la CNDP en octobre prochain...<br /> <br /> Face au silence de Fabius qui ne tient plus sa Fabiusie, Beauvais agit en prenant en charge complètement l'idée normande et en mettant Levern face à ses responsabilités avec cette proposition de coopération essentielle entre les deux régions administratives normandes:<br /> <br /> créer une marque "Normandie"<br /> <br /> Si Levern refuse on saura dès lors que Levern refuse clairement l'idée normande et alors il faudra donner l'assaut<br /> <br /> Si Levern accepte il devra alors accepter tout le reste car comme le rappelle Napoléon, toute l'histoire militaire rappelle que la victoire est toujours pour les assiégeants, jamais pour les assiégés...<br /> <br /> Levern devrait relire d'urgence l'histoire de la Normandie!
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Y
Sur le blog du présidnt du CR de Basse Normandie, l'idée de logo est expliquée et sera en débat :<br /> http://lbeauvais.typepad.fr/blog/2011/02/identit%C3%A9-normande-une-id%C3%A9e-%C3%A0-d%C3%A9battre-.html<br /> <br /> dans un autre billet, le président parle aussi de développer une "marque Normandie"... (outre Couesnon, nos amis et amicaux rivaux de Bretagne ont créés une "marque Bretagne").<br /> <br /> Yuca De Taillefer.
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  • Le webzine des Normands pour contribuer à la renaissance concrète de la Normandie après la fin, au 1er janvier 2016, d'une division administrative funeste décidée par l'Etat central jacobin en 1956, sans l'avis de nos concitoyens!
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