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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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26 octobre 2012

CHOISIR la NORMANDIE CONTRE TOUS LES BRONZE-CULS ?

L'Etoile de Normandie aime assez le slogan du Comité Régional de Normandie: "la Normandie à vivre pour revivre" et l'aspiration existentielle, spirituelle au bien être que ce slogan suggère... La densité et la richesse patrimoniale, culturelle, historique et naturelle ferait de notre région, la grande destination régionale de la recréation de l'âme. Grande ambition! Vaste programme...

Car notre société préfère encore la récréation à la recréation et les destinations "cool" aux destinations "PRISE de TETE"

Faut-il être un VIEUX SCHNOCK pour aimer la Normandie ? Ou être forcément un JEUNE C...  pour préférer les BRONZE-CUL  de tous les Suds?

Le Soleil et le bronzage se démodent plus vite que la pluie et les méditations ou les contemplations qu'elle provoque... patience, patience...

Et puis de toute façon, il faut de tout pour faire un monde et chacun est libre de voir MIDI à sa porte (surtout en Midi-Pyrénées)

Mais en Normandie, franchement, vous les voulez vraiement chez nous ces "cadres dynamiques" qui se disent prêts à quitter la région parisienne pour la Côte d'Azur?


Quitter Paris et l'ïle-de-France

Plus d'un Francilien sur deux rêve de quitter l'Île-de-France

Par Grégory Haelterman15 octobre 2012 |

L’herbe professionnelle est-elle plus verte en dehors de la région Île-de-France ? Ce qui est sûr, c'est que les Franciliens sont nombreux à vouloir tenter l'aventure en Province, selon un sondage CSA-Provemploi. Mais pour quelles raisons, et où se rendraient-ils ?

Alors que Provemploi, le salon pour "vivre et travailler en Province" ouvrira ses portes demain à Paris, un sondage CSA-Provemploi rapporte que 54 % des Franciliens envisageraient de quitter un jour la région parisienne. L'enquête, réalisée sur la base d'un panel de plus de 1000 franciliens, précise que 19 % des sondés seraient "certains" de sauter le pas un jour. Pour 35% des Franciliens, ce n'est en revanche qu’une simple idée.

Ce projet serait motivé, selon les cas, par l’entrée dans la vie active, l’accès à l’autonomie ou le fait d'envisager de construire une famille. Les personnes ayant entre 25 et 34 ans représentent ainsi la catégorie d’âge la plus importante (69 % des répondants) parmi les personnes certaines de leur départ. Par contre, ce désir semble partagé par l’ensemble des catégories sociales (63 % des CSP+, comme 61 % des CSP-), par les natifs d’Île-de-France (50 %) comme par les Provinciaux d’origine (58 %).

Partir oui… Mais où ?

Les deux-tiers de ces personnes (64 %) ont déjà en tête une destination si le départ venait à se concrétiser : 51 % iraient vers une ville petite ou de taille moyenne (moins de 100 000 habitants), contre 26 % qui se rendraient à la campagne ou dans un village, et seulement 18 % dans une ville de plus de 100 000 habitants. Une envie d’air frais mais ensoleillé, puisque la région Provence-Alpes-Côte d’Azur se révèle être la première citée dans les choix de destination, pour 25 % des répondants. Suivent ensuite la Bretagne (21 %), le Languedoc-Roussillon (19 %) et l’Aquitaine (18 %).

 

La qualité de vie comme raison majeure

Trouver un cadre de vie plus agréable représente clairement le motif le plus souvent avancé pour quitter l’Île-de-France (68 %), devant un coût moindre de la vie courante (41 %), le besoin de quitter l’agitation parisienne (38 %), l’occasion de devenir propriétaire de son logement (20 %) ou les opportunités professionnelles (13 %). Les inconvénients principaux de la vie parisienne sont le prix trop élevé de l’immobilier (56 %), le stress de la vie quotidienne (41 %), la durée des transports (40 %) et le coût de la vie (39 %). Autant d’éléments qui se retrouvent cités à titre d’avantages une fois en Province, en plus du climat plus accueillant (33 %), d’un accès plus aisé à la nature et aux loisirs (31 %) et de la plus grande amabilité des gens (20 %).

Un départ à préparer soigneusement

La mobilité professionnelle reste cependant un projet d’envergure qui peut inquiéter. Les personnes prêtes à quitter la capitale et sa région s’inquiètent par exemple d’éprouver des difficultés à trouver un emploi satisfaisant (48 %), des complications pour le conjoint (27 %), d’être loin des proches (27 %) ou d’avoir moins de choix pour leurs loisirs (20 %). Une longue préparation s’avère donc indispensable pour réaliser ce projet et passerait par une bonne connaissance de l’immobilier local (45 %), une visite préalable de la région (37 %) et une connaissance des entreprises et opportunités professionnelles (36 %).

Grégory Haelterman © Cadremploi.fr

(source: http://www.cadremploi.fr/editorial/actualites/actu-metiers-regions/detail/article/plus-dun-francilien-sur-deux-reve-de-quitter-lile-de-france.html#xtor=EPR-490 )

 

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