CCI de CAEN: la cavalcade en solitaire du Sieur COLLIN commence à coûter cher !
Un article en fait état dans l'édition caennaise de Ouest-France du 18 novembre 2014: le président de la CCI de Caen, Michel Collin "menace" de réduire les investissements consulaires à Caen, quitte à mettre en difficulté le projet d'extension de l'Ecole de Management de Normandie qui à Caen, au Havre et jusqu'à Oxford porte haut le dynamisme économique et entrepreneurial normand...
Bien entendu, Monsieur Collin s'en prend au Gouvernement. Trop facile ! Ce sera là l'objet de notre premier agacement...
Et voici le second:
L'article de Ouest-France proposé par Monsieur Lalay (de qui a peur ce grand journaliste "indépendant"?) ne pipe mot sur ce qui pourrait être considéré, objectivement, comme l'origine des difficultés financières actuelles et futures de la CCI de Caen, à savoir, le refus obstiné du satrape Collin de fusionner sa CCI de Caen avec celles de la Manche et de l'Orne (Flers - Argentan) comme ces deux dernières l'espèrent encore pour former la future CCIT "Ouest Normandie" destinée à équilibrer les CCIT de l'Estuaire (Le Havre) et de Seine-Mer-Normandie (Rouen et Dieppe) dans le cadre de la future CRCI unique de Normandie à l'horizon 2016...
Dans un premier projet, Caen-Normandie et Ouest-Normandie ne devait faire qu'une seule CCIT "Ouest-Normandie" qui aurait permis de retrouver, peu ou prou, le périmètre de l'ancienne intendance de Caen sous l'Ancien Régime
Mais il est vrai que le sieur Collin n'est que Caennais et que Monsieur Lalay n'est qu'un journaliste "bas" normand...
C'est la raison pour laquelle, ailleurs en Normandie, on a envie de ... cancanner cette vision Caencaennaise aussi stérile que coûteuse que nous inflige le sieur Collin dont la cavalcade en solidaire devrait s'arrêter le plus tôt possible avant le 1er janvier 2016: celui qui veut voyager loin doit ménager sa monture, dit le proverbe officiel des Jeux Equestres Mondiaux organisés à Caen l'été dernier... Que le sieur Collin puisse le méditer au plus vite, à pied, de préférence, car le cheval caennais qu'il monte est plutôt fatigué !