Canalblog Tous les blogs
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 4 705 835
Archives
21 juin 2019

Présidentielles 2022: Bernard CAZENEUVE un CINCINNATUS... ANGLO-NORMAND?

Billet de Florestan:

A l'occasion de la prochaine élection présidentielle en 2022, le match retour Macron VS Le Pen pourrait virer au cauchemar! Imagine-t-on un instant le cour central de Roland Garros déserté par le public le dimanche d'une finale?

5a3e46542abfe4aefe7e9eb8048e32fd-en-images-le-court-central-de-roland-garros-en-travaux-demolition-en-cours

L'abstention, déjà monumentale, pourrait culminer à des hauteurs himalayennes avec, de l'autre côté de la montagne, une victoire à ce point étriquée qu'elle ne pourra être considérée comme telle pour celui ou celle qui devra l'emporter de peu avec le risque d'entrer dans une crise politique majeure dans tous les cas!

Il nous faut donc conjurer dès à présent, le risque majeur d'un nouveau duel entre un pompier pyromane d'extrême-centre (Macron est un néo-giscardien autoritaire) et une incendiaire d'extrême droite (Le démagogisme de Le Pen fille n'a jamais gouverné).

Hervé Morin, le président de la Normandie a donc raison de tirer la sonnette d'alarme: "Emmanuel Macron est le Matteo Renzi français, tout cela va mal finir..."

Cet affrontement, c'est ce que nous révèle avec une grande lucidité et une grande finesse le livre de Jérôme Fourquet, "l'archipel français", est la conséquence politique d'une nation française plus que jamais désunie, qui se fracture et se fragmente de tous côtés et sur tous les sujets: il n'y a plus de consensus commun, si ce n'est le soutien à une équipe de football championne du Monde et encore!

Fourquet nous démontre que suite à l'effondrement de la pratique religieuse chrétienne catholique, la société française s'est désormais totalement émancipée de la matrice civilisationnelle, culturelle, voire anthropologique séculaire qui a fait la France et son histoire.

Ce plancher séculaire des vaches s'étant déroubé, tous les autres cadres institutionnels, culturels, sociaux ou sociétaux s'effondrent face à la formidable et générale affirmation d'un individualisme narcissique qui est le vrai moteur d'une Mondialisation consummériste financièrement pilotée par l'Occident mais placée sous la domination du "soft power" Nord-américain.

Le modèle de l'universalisme républicain français, fondé depuis 150 ans, sur le double héritage judéo-chrétien catholique et du rationalisme des Lumières, meurt sous nos yeux, vaincu par l'autre universalisme à l'oeuvre en Occident après avoir été trahi par nos soi-disant élites parisiennes "en marche" vers on ne sait où...

Et c'est ainsi, 50 ans après la mort du Général de Gaulle (qui fut le dernier chef d'état français à prendre vraiment au sérieux l'universalisme d'une grand puissance mondiale française), que plusieurs France se font désormais face, vivant les unes à côté des autres, en s'ignorant au risque de se méjuger ou de se mépriser.

Au niveau politique cela se traduit par une double sécession: celle des élites et des classes supérieures favorisées qui préfèrent le grand large de l'archipel métropolitain mondial. Celle des classes populaires plus que jamais assignées à résidence de l'autre côté du périphérique, dans la province profonde, sur les "territoires" comme on dit et dont celui de l'abstention politique n'est pas le moindre...

Avec des classes populaires ou moyennes de plus en plus tentées par le camping sur l'Aventin de l'abstention, d'une part, et des classes supérieures toujours entre deux avions à prendre entre Londres, New York, Tokyo ou Shanghaï, d'autre part, une formidable béance s'est ouverte qui est en train, sous nos yeux, d'engloutir la "chose publique", à savoir: la République au sens strict du mot!

Conformément à l'idéal d'une 5ème République voulue par De Gaulle pour qu'elle soit la réalisation du rêve d'un poète (Charles Péguy: "La République, notre royaume de France") en assumant une mystique du service d'un Etat central jacobino-parisien justifié par le service de l'intérêt général, les commentateurs médiatiques de la vie politique, les citoyens inquiets et égarés mais encore lucides espèrent qu'un homme providentiel, un "homme d'état" pourra surgir, tel un nouveau Cincinnatus, pour rétablir toutes les harmonies et sauver la République.

Il faut admettre que c'est paradoxal car on ne saurait durablement, "en même temps" (quelle arnaque!)  concilier le désir du retour d'un soleil radieux pour tous et l'affirmation de tous les midis devant toutes les portes...

A moins de changer radicalement le régime politique français et les idéaux qui l'ont fondé depuis plusieurs siècles autour du dilemme suivant:

1) Soit le droit reste soumis à un Etat français qui garde le monopole de la définition de l'intérêt général: héritage gaullo-bonapartiste, robespierro-louiscapétien lui même fondé sur le droit public impérial romain, depuis que l'abbé Suger en parla, un jour, avec Philippe-Auguste...

2) Soit l'Etat français se met enfin au service du droit en acceptant d'être le garant et l'arbitre des intérêts qui s'expriment dans une nation plus que jamais divisée et qui a plus que jamais le besoin d'une discussion démocratique approfondie pour définir l'intérêt général. L'Etat arbitre, au service du droit et des libertés, c'est un autre héritage dans l'histoire occidentale et nous ne cacherons pas qu'il a notre préférence puisqu'il nous vient, via le parlementarisme anglais, de notre droit normand et de nos ducs-roi de Normandie et d'Angleterre...

6448476_1-0-888096570_1000x625

Quel choix ferait Bernard Cazeneuve s'il devait être, à son tour, président de la République?

En effet, a petite musique se fait de plus en plus insistante depuis la catastrophe électorale des européennes, notamment à gauche:

Bernard Cazeneuve, l'ancien député-maire Cherbourg et qui fut le "Churchill de François Hollande" dans les pires moments d'un quinquennat durement éprouvé par le terrorisme islamiste radical qui a parfaitement perçu et analysé les faiblesses structurelles actuelles de la nation française (relire Gilles Képel), serait tenté par la grande aventure politique de 2022.

Le sachant avocat, fin juriste et amateur de jardins autant que de Normandie et d'Angleterre, Bernard Cazeneuve pourrait être, de notre point de vue, le meilleur candidat possible...


 

https://www.ouest-france.fr/europe/ue/europeennes-bernard-cazeneuve-sort-du-silence-et-en-appelle-l-union-de-la-gauche-6369194

Européennes. Bernard Cazeneuve sort du silence et en appelle à l’union de la gauche

Très discret depuis son départ de Matignon voilà deux ans, l’ancien Premier ministre sort du bois ce dimanche soir après les résultats des élections européennes. Les mauvais résultats de la gauche le poussent à réclamer l’union. Dans la perspective de 2022 ?

L’homme est économe de ses mots depuis son départ de Matignon en mai 2017. L’ancien maire de Cherbourg (Manche), ex-ministre de l’Intérieur et ex-Premier ministre de François Hollande, sort du bois très rarement, préférant largement ses plaidoiries d’avocat aux petites phrases politiques.

Le tweet, publié ce dimanche soir d'élections européennes sur les réseaux sociaux, fait donc figure d’événement. Il n’est pas anodin non plus. Forcément déçu et préoccupé par le faible score (quoique prévisible) du PS, associé pour ce scrutin européen au mouvement Place publique de Raphaël Glucksmann, le socialiste dessine en quatre phrases ce que doit être l’avenir de son parti.

« Nous ne pouvons plus faire courir à la République et à la démocratie le danger d’un face-à-face entre LREM et le RN. Nous devons reconstituer une force de gauche sociale et écologique qui offre à la France une espérance. C’est le seul chemin possible. J’invite celle et ceux qui croient en la gauche humaniste à y œuvrer dès maintenant. »

 

Appel du pied

Venant d’un membre éminent de la gauche historique, ce texte mérite forcément qu’on s’y attarde. Davantage que l’appel à l’union formulé quasiment au même moment par Olivier Faure, l’actuel secrétaire national du Parti socialiste, peu audible depuis son élection à la tête du parti voilà un peu plus d’un an.

Sans le dire ouvertement, Bernard Cazeneuve se prépare… pour 2022 et la prochaine élection présidentielle. « C’est une façon pour lui de semer des petits cailloux » faisait remarquer récemment un dirigeant socialiste, cité par le Journal du dimanche.

Lors d’un meeting de campagne à Lyon (Rhône), le 16 mai dernier, Olivier Faure avait d’ailleurs rappelé la stature de l’ancien locataire de Matignon, présent dans la salle : « L’homme d’État a quelque chose de plus que les autres : il est fiable. Retenez ce mot : fiable. Il sait ce qu’est la dureté de l’engagement, mais jamais il ne transige. »

Des mots forts, un vibrant hommage, un appel du pied appuyé, histoire de faire sentir à Bernard Cazeneuve qu’il serait le meilleur candidat pour la gauche dans trois ans.

Son tweet de ce soir peut être un premier pas vers une possible annonce de candidature. Elle passera d’abord par le rassemblement des forces de gauche. Une union plus que jamais incontournable pour essayer de peser de nouveau dans ce paysage politique français complètement chamboulé depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée.

Publicité
Commentaires
C
Bernard Cazeneuve 2022: les choses se précisent...<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.franceinter.fr/politique/le-ps-met-bernard-cazeneuve-en-orbite-pour-la-presidentielle-de-2022
Répondre
M
2 ou 3 choses... Le concept judéo-chrétien est à ranger au rayon des accessoires... totalement fabriqué et creux... le judaisme comme l'islamisme prime sur le politique ; la faiblesse et la grandeur du catholicisme, pas vraiment. Le rationalisme des Lumières est une autre farce, le nec plus ultra de la superstition... Ces lumières franc-maçonnes et libérales (pléonasme²), un rien talmudique quand même pour qui s'y intéresse, n'auront eu besoin que de 2 ou 3 siècle pour détruire 1700 d'histoire... Le problème c'est qu'ils auront détruit la planète avec.<br /> <br /> Quand au sournois et félon néo "Cincinnatus" allez demander aux familles de Cherbourg victimes des attentat de Karachi ce qu'ils en pense vraiment... Son rôle de sourd-muet au moment des attentats (charlie et bataclan) en fait un grand commis de l'Etat mais de quel Etat on parle (et dans quel état est-il?) L'Etat des frères trois points???
Répondre
C
On se demande que ce Luc propose comme " solutions " <br /> <br /> Des pogroms ?<br /> <br /> Parquer les gens dans des camps ?<br /> <br /> Dites nous le fond de votre pensée
Répondre
L
Giulio Meotti : Le suicide de la France<br /> <br /> <br /> <br /> – La “francité” disparaît et est remplacée par une sorte de balkanisation des enclaves qui ne communiquent pas les unes avec les autres…. ce n’est pas une bonne recette.<br /> <br /> <br /> <br /> – Les élites françaises, avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels, s’enfermant dans leurs enclaves, ont moins de chances de comprendre l’impact quotidien de l’échec de l’immigration massive et du multiculturalisme.<br /> <br /> <br /> <br /> – Les classes supérieures mondialisées, “bobos [bourgeois-bohèmes]” remplissent les “nouvelles citadelles” – comme du temps de la France médiévale – et votent en masse pour Macron. Elles ont développé “une façon unique de parler et de penser…. qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d’une nation soumise à un stress sévère et de mettre à rude épreuve la fable d’une société aimable et accueillante“. – Christophe Guilluy, Twilight of the Elites, Yale University Press, 2019.<br /> <br /> <br /> <br /> “Quant à la France en 2019, on ne peut plus nier qu’une transformation capitale et hasardeuse, un ‘Grand Changement’, est en cours de réalisation”, a observé le fondateur et président de l’Institut Jean-Jacques Rousseau, Michel Gurfinkiel. Il pleure “le décès de la France en tant que pays distinct, ou du moins en tant que nation judéo-chrétienne occidentale qu’elle était jusqu’à présent considérée comme telle”. Un article paru récemment en couverture de l’hebdomadaire Le Point l’appelait “Le grand bouleversement“.<br /> <br /> <br /> <br /> Changement ou bouleversement, les jours de la France telle que nous la connaissions sont comptés : la société a perdu son centre de gravité culturel : l’ancien mode de vie s’estompe et est en voie de “disparition”. La “francité” disparaît et est remplacée par une sorte de balkanisation des enclaves qui ne communiquent pas les unes avec les autres. Pour le pays le plus touché par le fondamentalisme islamique et le terrorisme, ce n’est pas une bonne recette.<br /> <br /> <br /> <br /> Le Grand changement de la France devient également géographique. La France apparaît aujourd’hui divisée entre “ghettos pour les riches” et “ghettos pour les pauvres”, selon une analyse de la carte électorale par le plus grand journal français, Le Monde. “Dans le secteur le plus pauvre, 6 ménages nouvellement installés sur 10 ont une personne née à l’étranger”, note Le Monde. Une sorte d’abîme sépare aujourd’hui la France périphérique – petites villes, banlieues et zones rurales – de la métropole mondialisée des “bourgeois-bohème”, ou “bobos”. Plus les élites françaises, avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels, se cloîtrent dans leurs enclaves, moins elles ont de chances de comprendre l’impact quotidien de l’échec de l’immigration massive et du multiculturalisme.<br /> <br /> <br /> <br /> Un récent sondage européen a reflété ces “deux Frances qui ne se croisent pas ou ne se parlent pas”, a observé Sylvain Crepon de l’Université de Tours, en analysant le succès du Rassemblement National de Marine Le Pen lors des récentes élections au Parlement Européen. Le Pen et le président Emmanuel Macron, les deux lauréats de l’élection, parlent à des groupes sociologiques complètement différents. En banlieue parisienne – Aulnay-sous-Bois, Sevran, Villepinte et Seine-Saint-Denis – le Rassemblement national d’extrême droite connaît un boom. Dans les villes, Le Pen est largement en arrière : elle est cinquième à Paris, troisième à Lille, quatrième à Lyon. Selon Crepon :<br /> <br /> <br /> <br /> “Ces villes seront protégées du vote du Rassemblement national par leur structuration sociologique. Il fait honneur au discours populiste qui diagnostique une élite déconnectée. Ce [point de vue] soutient l’idée d’une rupture sociologique, ce qui n’est pas complètement faux”.<br /> <br /> <br /> <br /> D’un côté de cette rupture se trouvent des villes comme Dreux, que Valeurs Actuelles qualifie “de ville qui préfigure la France de demain” :<br /> <br /> <br /> <br /> “D’un côté une cité royale, vestige d’une histoire plus que millénaire, de l’autre des cités gangrenées par les trafics et l’islam. Les bourgeois du centre-ville qui votent pour Macron, les “petits Blancs” déclassés qui ne jurent que par Le Pen.”<br /> <br /> <br /> <br /> De l’autre côté, c’est Paris. “Toutes les métropoles du monde connaissent le même sort. C’est là que la richesse circule et que l’alliance entre les ‘gagnants de la mondialisation’ et leurs ‘serviteurs’, des immigrants venus servir les nouveaux maîtres du monde, garder leurs enfants, apporter leurs pizzas ou travailler dans leurs restaurants”, a écrit l’éminent commentateur social Eric Zemmour dans Le Figaro. “Désormais”, écrit-il, “Paris est une ville globale, pas vraiment une ville française”.<br /> <br /> <br /> <br /> Les classes supérieures mondialisées, “bobos”, selon l’un des auteurs les plus respectés de France. Christophe Guilluy, remplissent les “nouvelles citadelles” — comme dans la France médiévale — et votent en masse pour Macron. Ils ont développé “une façon unique de parler et de penser…. qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d’une nation soumise à un stress sévère et de mettre à mal la fable d’une société aimable et accueillante”. Guilluy a été critiqué par certains médias français pour avoir abordé cette réalité.<br /> <br /> <br /> <br /> Le récent mouvement des “gilets jaunes” – dont les manifestants protestent tous les samedis à Paris, depuis des mois, contre les réformes du président Macron – est un symbole de cette division entre la classe ouvrière et les progressistes gentrifiés.<br /> <br /> <br /> <br /> Selon Guilluy, c’est un “choc social et culturel“. Ce choc, selon le philosophe français Alain Finkielkraut, consiste en la “laideur de la France périphérique et ses effets sur la vie concrète, la tristesse de ces classes populaires qui ont perdu non seulement un niveau de vie mais aussi un référent culturel”. En France, le sentiment de “dépossession“ est aujourd’hui omniprésent.<br /> <br /> <br /> <br /> Le parti de Marine Le Pen a remporté plus de deux fois plus d’élections que celui de Macron. Le Pen a gagné dans les régions déprimées et désindustrialisées du nord, du centre-sud et de l’est de la France qui ont donné naissance aux gilets jaunes.<br /> <br /> <br /> <br /> “Depuis mon arrivée en France en 2002, j’ai vu le pays accomplir une révolution culturelle”, a récemment écrit Simon Kuper dans le Financial Times.<br /> <br /> <br /> <br /> “Le catholicisme a presque disparu (seuls 6 % des Français assistent habituellement à la messe), mais pas autant que son rival de longue date, le communisme. La population non-blanche n’a cessé de croître”.<br /> <br /> <br /> <br /> Macron, explique Kuper, est le symbole d’une “nouvelle société individualisée, mondialisée, dépourvue de religions”.<br /> <br /> <br /> <br /> La disparition du catholicisme en France est tellement évidente qu’un nouveau livre, L’archipel français : Naissance d’une nation multiple et divisée, de Jérôme Fourquet, a décrit l’échec culturel de la société française en tant “qu’ère post-chrétienne“ : Le déplacement de la société française de sa matrice catholique est devenu presque total. Le pays, selon Fourquet, est en train de mettre en œuvre sa propre déchristianisation. Et il n’y a qu’un seul substitut à l’horizon. Il y a déjà aujourd’hui, selon une nouvelle étude académique, autant de musulmans que de catholiques parmi les 18-29 ans en France, et les musulmans représentent 13% de la population des grandes villes françaises, soit plus du double de la moyenne nationale.<br /> <br /> <br /> <br /> Parfois, les sentiments musulmans de solidarité communautaire semblent avoir profité de cette fragmentation pour créer leurs propres “ghettos soumis à la charia“. <br /> <br /> <br /> <br /> Un rapport de l’Institut Montaigne, “L’usine islamiste“, a détaillé la radicalisation de la société musulmane française. Au lieu de l’intégration, de l’assimilation et de l’européanisation, les extrémistes musulmans en France poursuivent le multiculturalisme, la séparation et la partition. Les enclaves d’immigrés à la périphérie des villes françaises, pose Gilles Kepel dans son livre La Fracture, fomente “une rupture des valeurs avec la société française, et une volonté de la subvertir”. “Les gens ne veulent pas vivre ensemble”, a déclaré l’ancien ministre français de l’Intérieur, Gérard Collomb, dans des commentaires rapportés par Valeurs Actuelles.<br /> <br /> <br /> <br /> Cette “fracture” a été relevée à nouveau dans la même publication : “Quatre garçons sur dix en Seine-Saint-Denis ont des prénoms arabo-musulmans”. Le sondeur Jérôme Fourquet a révélé dans une nouvelle étude que “18% des nouveau-nés en France ont un nom arabo-musulman”.<br /> <br /> <br /> <br /> Le “Grand bouleversement” de la France est en cours de réalisation. Comme l’a récemment écrit le philosophe Alain Finkielkraut : “L’incendie de Notre-Dame n’est ni un attentat ni un accident, mais une tentative de suicide.”<br /> <br /> <br /> <br /> Source: The Gatestone Institute, le 24 juin 2019 –
Répondre
Publicité
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
  • Le webzine des Normands pour contribuer à la renaissance concrète de la Normandie après la fin, au 1er janvier 2016, d'une division administrative funeste décidée par l'Etat central jacobin en 1956, sans l'avis de nos concitoyens!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Publicité
L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
Publicité
Publicité