SCANDALE LUBRIZOL: LE MEPRIS GOUVERNEMENTAL POUR LA NORMANDIE SE CONFIRME!
C'est une décision qui doit certainement avoir ses bonnes raisons bureaucratiques mais elle résonnera dans le mental déjà bien éprouvé des Rouennais et des Normands comme une seconde explosion:
celle du mépris!
En effet, le premier gestionnaire de ce syndicat de faillite qui s'appelle encore "France" (ne l'appelons plus Premier ministre) nous fait savoir que Rouen et les communes impactées par la poisse aux hydrocarbures appartenant à Monsieur Warren Buffett et qui a été épendue, pour une raison encore inconnue, sur notre Normandie verte et mouillée, ne pourront pas bénéficier de l'état de catastrophe industrielle et technologique.
Cette information est hélas aussi vraie qu'officielle.
Nous avons eu de la peine à le croire: nous avions d'abord cru à une énième "défèque niouze".
C'est absolument consternant de constater que ce pays n'est pas politiquement gouverné: une gestion (qui s'apparente plutôt à une digestion des événements dans la communication) semble suffire, croient-ils, en haut lieu. Cette conception qui est à l'art de gouverner ce que l'art du pyromane est à celui du pompier, aura des conséquences funestes dans les urnes qui pourraient, elles aussi exploser au nez et à la figure de tous ceux qui, actuellement, abusent de leur droit à la parole publique: après le Mercaptan et autres dioxines, retour assuré du dégagisme, un gaz toxique pour la démocratie.
Avec ce scandale moral, en filigrane, planant comme une odeur nauséabonde entre deux discours officiels comme entre deux courants d'air:
FALLAIT IL DES MORTS NORMANDS SUR LEUR CONSCIENCE POUR OBTENIR UNE DECLARATION D'ETAT DE CATASTROPHE INDUSTRIELLE?
FALLAIT IL DES DESTRUCTIONS D'IMMEUBLES COMME A TOULOUSE OU COMME A ROUEN... EN 1944?
Lire la vraie défèque niouze de ce gouvernement plus que jamais déplorable confirmée par le rédacteur en chef adjoint de Paris-Normandie, Stéphane Siret:
Assurance. Réclamé pour faciliter les indemnisations des assurances après l’incendie à Lubrizol, l’état de catastrophe technologique ne devrait pas être reconnu, selon les déclarations du Premier ministre, mardi 1er octobre 2019 à l’Assemblée nationale.
Frappée de plein fouet par « la catastrophe industrielle » – Édouard Philippe dixit – la région sera-t-elle bientôt déclarée en état de catastrophe technologique comme le souhaite le député PS de la Seine-Maritime, Christophe Bouillon, lequel, parlant de « marée noire sur terre », a interpellé le Premier ministre à ce sujet, mardi à l’Assemblée nationale ? Issu d’une loi adoptée à la suite de la catastrophe AZF, ce dispositif permet d’indemniser les victimes de catastrophe technologique, au même titre que l’état de catastrophe naturelle permet aux victimes d’inondations, par exemple, de bénéficier rapidement d’une couverture assurance. « Ce régime [de catastrophe technologique, Ndlr], je le dis et ce n’est pas une réponse définitive, nuance le Premier ministre, vise à traiter les accidents avec un très fort impact sur les biens immobiliers ou mobiliers ».
Ce qui, aux yeux d’Édouard Philippe, n’est « pas surprenant » ce régime découlant « assez largement » d’AZF « où c’est une explosion qui avait rendu impraticable et inutilisable un nombre considérable de logements. »
Au regard de la situation rouennaise, qu’il est venu constater lundi soir sur le site de Lubrizol, Edouard Philippe dit ne pas être sûr « qu’au moment où je vous parle, les conditions d’application précises soient réunies. En tout cas, ajoute-t-il, je veillerai à ce que cela ne nous conduise pas à exonérer l’industriel qui est, au regard du droit, le premier responsable des effets de l’incendie sur l’environnement. »
À l’Assemblée nationale mardi, de nombreuses questions d’élus – opposition et majorité confondues – ont tourné au tour de l’incendie Lubrizol et de ses conséquences. Hubert Wulfranc, députée PCF de la Seine-Maritime, et Damien Adam, député LREM de Rouen, ont eux aussi insisté sur les « ratés » de la communication des autorités et sur la nécessité d’établir « un suivi médical de long terme ». « J’y suis évidemment favorable », répond Edouard Philippe, assurant que « les autorités sanitaires locales le mettront en place. »
Quant à la volonté des députés de mener sur le terrain une mission d’enquête ou de créer une commission d’enquête parlementaire, elle n’a pas reçu de réponse... En attendant, la ministre de la Transition écologique, Élisabeth Borne, qui était sur le site de Lubrizol vendredi dernier avec sa collègue de la Santé, Agnès Buzyn, sera auditionnée mercredi 2 octobre en commission à l’Assemblée. La ministre sera entendue à 18 h 45 par la commission du Développement durable. « Les parlementaires veulent jouer leur rôle, et c’est bien normal, de contrôle de l’action du gouvernement », a déclaré mardi sa présidente Barbara Pompili (LREM), qui a organisé cette audition.
Rédacteur en chef adjoint, responsable du service reportage
Une centaine d'élus ont interpellé le gouvernement dans un courrier sur quatre points précis après l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen, mercredi 2 octobre 2019. Détails.
Quelques jours après l’incendie à l’usine Lubrizol de Rouen (Seine-Maritime), une centaine de maires, parlementaires et élus locaux de tous bords politiques ont interpellé le gouvernement dans un courrier envoyé mercredi 2 octobre 2019. Il s’agit à un détail près de la retranscription d’une pétition lancée lundi 30 septembre à l’initiative du député Christophe Bouillon et de l’ancien président de région et candidat aux Municipales à Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol. Elle porte sur quatre points précis pour les suites de cette catastrophe industrielle.
#Lubrizol: nous exigeons la transparence! Nous avons le droit de savoir:
-ce qui a brûlé
-la nature des polluants présents dans le nuage, leur quantité, leur dangerosité.
-à terme, les circonstances et les causes de l’incendie.
Signez/partagez la pétition!https://t.co/IX3zzrFzRo— Nicolas Mayer-Rossignol (@NicolasMayerNMR) October 1, 2019
Lire aussi : Incendie de l’usine Lubrizol : 5 253 tonnes de produits chimiques partis en fumée
La lettre demande d’abord la transparence au nom de l’article 7 de la Charte de l’Environnement. « Elle doit non seulement viser la nature exacte de ce qui a brûlé, mais aussi la composition des polluants émis dans l’atmosphère, les sols, leur quantité, leur dangerosité », indique Nicolas Mayer-Rossignol dans un communiqué.
Les élus souhaitent un suivi médical à court et long terme pour toutes les personnes ayant inhalé des fumées, ainsi que la reconnaissance de l’état de catastrophe technologique. Pour ce cas précis, il y a « urgence ». « Cette reconnaissance doit être prise par décret au Journal Officiel dans les quinze jours suivant l’accident. Elle permet d’ouvrir pour les particuliers les droits à prise en charge », précise le courrier.
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Le dernier point concerne la réparation des dommages causés à l’environnement. Les signataires enjoignent le gouvernement d’ordonner au préfet d’évaluer et de reconnaître les atteintes à l’environnement et de mettre en œuvre des réparations aux frais des responsables, « qui seront déterminés dans le cadre de la procédure » — le texte de la pétition désignait quant à lui directement Lubrizol. Les auteurs du courrier rappellent que « ce n’est pas un incident local » :
C’est une catastrophe technologique, économique et écologique d’ampleur nationale, qui doit être traitée comme telle. Les conséquences, non seulement en termes sanitaires, écologiques, mais aussi en termes d’image, d’attractivité et de rayonnement, peuvent être de long terme.
Lire aussi : Incendie chez Lubrizol : sur les quais de Rouen, restaurateurs et commerçants à la peine
Le président de Région Hervé Morin a lui aussi communiqué en ce sens mercredi 2 octobre. Selon lui, la publication de la liste des produits stockés dans l’entrepôt « ne suffira pas à mettre fin à la spirale de la suspicion, à l’inquiétude qui en découle, à la colère de la population. » Il demande à ce que ces informations soient plus accessibles, notamment à ce que les caractéristiques des produits et les risques associés à leur combustion soient explicités.
« La même transparence doit être de mise pour les analyses sanitaires de l’air, de l’eau, des sols et des aliments engagées en fin de semaine dernière. Ces prélèvements et la publication de leurs résultats doivent se poursuivre à intervalle régulier », insiste-t-il. Avant de demander à son tour « un suivi épidémiologique permanent » dans l’ensemble des zones impactées par le nuage.
Hervé Morin appelle à tirer des leçons des « dysfonctionnements » et des « carences » dans la gestion de cette crise, ainsi qu’à la mise en place d’« un vrai schéma de prévention et de formation des populations vivant à proximité des sites Seveso et exposées à ce type de risques. »
TEXTE INTEGRAL DE LA LETTRE DES CENT ELUS NORMANDS A L'ADRESSE D'EDOUARD PHILIPPE PREMIER MINISTRE
Rouen, le 2 octobre 2019
Monsieur le Premier ministre,
A Rouen, près de cinq jours se sont écoulés depuis ce qu’il faut bien appeler l’une des pires catastrophes industrielles en France après AZF en 2001 : l’incendie d’une zone de stockage de l’entreprise Lubrizol, qui a généré un panache de fumée noire de plusieurs dizaines de kilomètres. Une véritable ‘marée noire sur terre’ s’est abattue sur la Normandie et bien au-delà.
Devant les peurs, angoisses et questionnements bien légitimes de nos concitoyens, nous devons collectivement apporter une réponse rapide, claire, utile et efficace. C’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir engager le Gouvernement et l’Etat sur les quatre points concrets suivants :
1-La transparence : conformément à l’Article 7 de la Charte de l’Environnement telle que référencée dans le préambule de la Constitution française, « Toute personne a le droit (...) d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues par les autorités publiques (...). ». Comme vous vous y êtes engagé dimanche, et nous vous en remercions, cette transparence doit être « totale ». Elle doit non seulement viser la nature exacte de ce qui a brûlé, mais aussi la composition des polluants émis dans l’atmosphère, les sols, leur quantité, leur dangerosité. Et bien sûr, les circonstances et les causes de l’incendie. Toutes les analyses doivent être conduites par des organismes parfaitement indépendants.
2-Le suivi médical : il paraît avéré que le panache de fumée contenait des particules (résidus d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), métaux lourds notamment) aux propriétés toxiques. Nous demandons qu’un registre de suivi médical, à court mais aussi à plus long terme, des personnes qui ont inhalé les fumées (à commencer par les agents des services publics et les salariés de Lubrizol directement engagés dans l’extinction de l’incendie, les habitants les plus proches et plus largement l’ensemble des riverains concernés), soit immédiatement mis en place par les services de l’Etat.
3-La reconnaissance de l’état de catastrophe technologique : conformément à l’Article L. 128 du Code de l’Assurance, cette reconnaissance doit être prise par décret au Journal Officiel dans les quinze jours suivant l’accident. Elle permet d’ouvrir pour les particuliers les droits à prise en charge, au titre des contrats d’assurance multirisques habitations, des frais de dépollution/nettoyage des jardins, voitures, maisons etc. Nombreux sont nos concitoyens qui attendent l’ouverture de leurs droits. Il y a urgence. L’indemnisation immédiate des agriculteurs des 112 communes impactées par l’arrêté préfectoral leur interdisant récoltes, collecte du lait..., mais aussi des commerçants impactés, doit également être mise en place.
4-La réparation rapide des dommages causés à l’environnement. Dans le cas d’AZF, la procédure pénale est toujours en cours alors que l’accident a eu lieu en 2001. Nous Rouennais, Normands, ne pouvons pas attendre vingt ans. Nous vous demandons d’ordonner au Préfet d’exercer dès maintenant ses prérogatives de police administrative de l’environnement, au titre de l’Article L. 161 du Code de l’Environnement, afin que les atteintes à l’environnement manifestement causées par l’incendie (pollutions de l’air, des sols...) soient officiellement reconnues, évaluées,quantifiées -car tout cela a un coût- et que les responsables, qui seront déterminés dans le cadre de la procédure, mettent rapidement en œuvre, à leurs frais, des mesures de réparation. La procédure prévue dans ce cadre juridique permettra notamment que les mesures de réparation envisagées soient soumises aux collectivités territoriales, aux élus locaux, aux associations de protection de l’environnement, au grand public. Elle permettra aussi, sans attendre l’issue de la procédure pénale, que l’autorité de police administrative prescrive très rapidement les mesures de réparation appropriées et impose leur mise en œuvre.
Vous le savez, la catastrophe Lubrizol n’est pas un incident local. C’est une catastrophe technologique, économique et écologique d’ampleur nationale, qui doit être traitée comme telle. Les conséquences, non seulement en termes sanitaires, écologiques mais aussi en termes d’image, d’attractivité et de rayonnement, peuventêtre de long terme. Nous savons votre attachement à Rouen, à la Normandie. Les revendications que nous portons sont partagées par une multitude d’élus locaux, de tous bords, et de dizaines de milliers de nos concitoyens.
Nous espérons que vous saurez accéder rapidement à notre demande, car elle est trans-partisane et d’intérêt général.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de notre haute considération.
Les premiers signataires (par ordre alphabétique) :
AFFAGARD
Thérèse
Maire de Theuville-aux-Maillots
ANNETTA
Dominique
Maire de La Frenaye
ANQUETIN
Benoit
Maire de Saint Aubin Epinay
ARGELES
Christine
Conseillère municipale de Rouen
BARON
Pascal
Maire de Freneuse
BASSELET
Nicole
Maire de Berville sur Seine
BELLANGER
Rémy
Maire de la Chapelle- sur- Dun
BEREGOVOY
Jean-Michel
Conseiller municipal de Rouen
BILLORE
Jean-Yves
Maire de Tôtes
BLONDEL
Martine
Conseillère Départementale
BOUILLON
Christophe
Député de Seine-Maritime
BOULANGER
Mélanie
Maire de Canteleu
BOURGEOIS
Marie-Josée
Maire de Osmoy Saint Valéry
BOURGET
Monique
Maire de Houppeville
BOUTIGNY
Nadine
Maire de Gommerville
BOYERE
Christian
Maire de Norville
BREUGNOT
Jean-Pierre
Maire de Gouy
BUQUET
Daniel
Maire de Croisy- sur- Andelle
CANU
Emile
Maire de Yvetot
CANU
Pierrette
Maire de Saint-Pierre de Varengeville
CAREL
Pierre
Conseiller Départemental
CAVELAN
Xavier
Maire de Benesville
CAVELIER
Michel
Maire de Saint Nicolas- de- la- Taille
CHAUVEL
Dominique
Maire de St Valéry en Caux
CHEKHEMANI
Kader
Conseiller municipal de Rouen
CORITON
Bastien
Maire de Caudebec en Caux
CORMAND
David
Conseiller municipal de Canteleu
COSQUER
Jean-Luc
Maire de Brémontier Merval
COUTEY
Guillaume
Maire de Malaunay
CREVEL
Yves
Maire de Saint Germain- sur- Eaulne
CROCHEMORE Jean-Jacques
Maire de Epinay sur Duclair
DE CINTRE
Christine
Conseillère Départementale de Rouen
DEL SOLE
Anne-Marie
Maire de Yainville
DELABOUGLISE
Dany
Maire de Haudricourt
DELAUNE
Daniel
Maire de Grand Camp
DELESQUE
Ludovic
Conseiller Départemental de Rouen
DELETRE
René
Maire de Grainville- sur- Ry
DELLERIE
Jacques
Maire de Sandouville
DERRIEN
Yves
Maire de Eu
DIALLO
Tacko
Conseillère Départementale
DIALLO
Mamadou
Conseiller Départemental de Rouen
DODELIN
François
Maire de Goupillières
DUBOC
Christophe
Conseiller municipal de Rouen
DUBOST
Jérôme
Conseiller Départemental
DUCLOS
Emmanuel
Maire de Dampierre- en- Bray
DUPONT
Jean
Maire de Jumièges
DUTARTE
Caroline
Conseillère Départementale de Rouen
EL KHILI
Fatima
Conseillère municipale de Rouen
FILLOCQUE
Michel
Maire d’ Etoutteville
FOLLET
Marylène
Conseillère départementale
FOUQUET
Michel
Maire de Fresnoy-Folny
FOURNEYRON
Valérie
Ancienne Ministre, ancienne Maire de Rouen
GARAND
Sylvain
Maire de Saint Martin de l'If
GERVAISE
Jean-Loup
Conseiller municipal de Rouen
GOUJON
Charlotte
Maire de Petit-Quevilly
GOULET
Dominique
Maire de Tourville-les-Ifs
GRELAUD
Laurent
Maire de Bonsecours
GRENIER
Daniel
Maire du Houlme
GRESSIER
Robert
Maire de Sainte Geneviève en Bray
GREVET
Paul
Maire de Pierreval
HARAUX
Ludivine
Maire de Montmain
JAOUEN
Jean-Pierre
Maire de La Londe
JOUBERT
Claude
Maire de Servaville-Salmonville
LABBE
Manu
Conseiller municipal de Rouen
LAMIRAY
David
Maire de Maromme
LARGILLET
Agnès
Conseillère départementale
LE VERN
Marie
Conseillère départementale
LEAUTEY
Florence
Conseillère municipale de Rouen
LECONTE
Olivier
Maire d’ Ouville l'Abbaye
LEDRAIT
Didier
Maire de Longueil
LEFEBVRE
Claude
Maire de Mesnil Mauger
LEFEBVRE
Christian
Maire de Rocquemont
LEFEBVRE
Eric
Maire d’Anneville-Ambourville
LEMARCHAND Eva
Maire de Le Mesnil- sous- Jumièges
LEROY
Philippe
Maire de Franqueville Saint Pierre
LESAGE
Julie
Conseillère départementale
LESCONNEC
Françoise
Conseillère municipale de Rouen
MANZANARES Brigitte
Conseillère départementale
MARCHAND
Frédéric
Conseiller municipal de Rouen
MARCHE
Frédéric
Maire de Cléon
MARIE
Didier
Sénateur de Seine-Maritime
MARTOT
Stéphane
Conseiller municipal de Rouen
MASSION
Marc
Maire de Grand-Quevilly
MASSON
Jean-Marie
Maire de Saint-Aubin-Lès-Elbeuf
MAYER-
ROSSIGNOL Nicolas
ancien Président de Région, conseiller municipal de Rouen
MENPIOT
Xavier
Maire de Aubermesnil aux Erables
MERABET
Djoudé
Maire de Elbeuf
MEZRAR
Nadia
Conseillère départementale
MICHEL
Claude
Maire de Criquiers
MOREAU
Cyrille
Conseiller municipal de Rouen
PANE
Luce
Maire de Sotteville les Rouen
PATIN
Rémy
Maire de Mesnil Panneville
PELTIER
Pierre
Maire d’ Isneauville
PESQUET
Daniel
Maire de Quevreville- la- poterie
PHILIPPE
Jacques-Antoine
Conseiller Départemental
PIGNAT
Danielle
Maire de Saint- Jacques- sur- Darnétal
RAGACHE
Alexis
Conseiller départemental
RAMBAUD
Christine
Conseillère municipale de Rouen
RANDON
Dominique
Maire de Petit-Couronne
REGNIER
Didier
Conseiller Départemental
ROBERT
Yvon
Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie
ROULY
Nicolas
Ancien Président du Département, Conseiller départemental
SANCHEZ
Emilien
Maire de Saint-Martin du Vivier
SEIGNEUR
Daniel
Maire d’Ermenouville
SIMON
Patrick
Maire de Sainte Marguerite- sur- Duclair
SLIMANI
Laura
Conseillère municipale de Rouen
TAILLANDIER
Martine
Maire de Moulineaux
TEMPERTON
Joël
Maire de La Bouille
THULLIEZ
Gérard
Maire de Neuville-Ferrières
Commentaire de Florestan:
"C'est mon dreit et j'y ti!"... Les avocats américains de Lubrizol- Hattaway (Warren Buffett) sauront assez vite à quoi s'en tenir: les Normands sont procéduriers et très attachés à défendre leurs droits: pour des avocats américains, ce sera comme un retour aux... sources!