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L'ETOILE de NORMANDIE, le webzine de l'unité normande
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4 juin 2020

PARIS-NORMANDIE: suite de la mauvaise histoire belge...

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Face à l'ogre breton et face à l'ogre du belge Rossel, prendre l'attache d'un autre belge car les Normands sont infoutus de s'entendre pour défendre l'intérêt général de leur région dans ce qu'il a de plus essentiel...

La Normandie médiatique était déjà d'une certaine nullité avant la réunification et un certain "viking triste", l'un de nos fidèles lecteurs, a eu la lucidité de nous rappeler que l'unité médiatique de la Normandie n'avait jamais réellement existé. La réunification de 2015 était une opportunité et la reprise de Paris-Normandie était même une opportunité historique pour permettre l'émergence d'un groupe multimédias 100% indépendant et 100% normand, le groupe Leclerc en l'occurrence, de réunifier la Normandie dans le domaine de la presse quotidienne régionale afin de ne pas laisser un quasi monopole aux Bretons de Ouest-France: si l'on ne peut pas être maître chez soi alors à quoi bon?

Le moindre mal est donc de laisser le moins gourmand des deux Belges en lice croquer le choco PN.

Quant à la couverture de l'actualité normande avec un angle 100% normand vous avez TVNC et, bien entendu, l'Etoile de Normandie et ses 1500 visites quotidiennes...

Merci pour votre confiance et votre fidélité!

Lire ce qu'on dit du dossier de Paris-Normandie sur le site de l'observatoire du journalisme:

https://www.ojim.fr/necromancie-a-rouen-qui-veut-reanimer-paris-normandie/

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Nécromancie à Rouen : qui veut réanimer Paris-Normandie ?
Les intrigues autour du quotidien normand de Rouen n’en finissent pas, alors que celui-ci est en liquidation judiciaire depuis le 21 avril 2020.

Avec plusieurs millions d’euros de dettes, des ventes en baisse (tirage à 41 000 exemplaires pour l’année 2019) et en déficit régulièrement, le plus mauvais des marabouts pourrait prédire, sans trop de marge d’erreur, que l’avenir de Paris-Normandie est mal engagé. Et encore, ça, c’était avant la crise du Covid-19, qui l’a emmené au septième cercle de l’enfer en faisant chuter de 90 % ses revenus publicitaires. Les journalistes de Paris-Normandie ont donc découvert qu’ils pouvaient encore tomber plus bas, avaient-ils conscience de la situation quelques mois plus tôt ? Ils étaient peut-être trop occupés à faire des articles larmoyants sur des clandestins « mineurs » ayant certainement dépassé la trentaine. Qui, évidemment, venaient de pays en guerre comme la Guinée, le fameux conflit Sénégalo-Guinéen…

Le journal était jusqu’alors la propriété de l’homme d’affaires Jean-Louis Louvel, président fondateur de PGS (entreprise spécialisée dans la palette en bois) également président du club de rugby rouennais. Toutefois, la candidature de ce dernier à la mairie de Rouen pour les municipales, sous l’étiquette LREM, avait créé quelques rififis au sein de la rédaction, certains des journalistes se rappelant leur théorique déontologie, craignant un évident conflit d’intérêt. C’est peut-être l’étiquette de M. Louvel qui avait accordé au journal le privilège d’être sélectionné, avec France 3 et France Bleu, pour couvrir la visite de Christophe Castaner en Seine-Maritime le 16 mai dernier. De fait, les rédactions normandes avaient quelque peu râlé de se voir ainsi écarté de l’actualité de leur territoire (le Courrier Cauchois l’a mal pris) au bénéfice de seulement trois médias exclusifs.

L’espoir déçu du premier tour

Toutefois, la Vox Populi n’a pas été du côté de LREM : Jean-Louis Louvel arrive troisième avec 16,79 % des voix. C’est la douche froide, le monde de la palette en bois n’est, semble-t-il, pas le même que celui de l’arène politique. Il s’est d’ailleurs retiré de la course le 28 mai. Mais cela change-t-il quelque chose pour Paris-Normandie ? Oui…et non. Quand le roi de la palette était toujours dans la course, avant les résultats du premier tour, il semblait réfléchir à vendre son quotidien à l’un de ses frères normands, Pierre-Antoine Capton. Le sieur, en plus d’être un autre soutien de la macronie, a la particularité de produire l’émission C à Vous mais aussi, et surtout, d’être l’associé de Xavier Niel et Mathieu Pigasse dans le groupe Médiawan. Mais, le premier tour des municipales a redistribué les cartes, et la vente du journal à Pierre-Antoine Capton n’est plus d’actualité. Monsieur Louvel à une autre idée en tête : vendre son quotidien tout en restant associé minoritaire, ce qui lui permettrait de garder un peu d’influence sur le journal.

Un journal en état de mort clinique qui aiguise les appétits

Malgré le gouffre financier qu’est Paris-Normandie, trois prétendants se pressent à la porte tels des Témoins de Jéhovah en soif de conversions ; le groupe français Health Initiative, et deux envahisseurs venus d’outre Meuse, les groupes de presse belges IPM et Rossel.

Le Français fait figure d’outsider, avec « seulement » six millions d’euros de chiffre d’affaire, et est spécialisé dans les revues médicales. Les belges, c’est une autre histoire ! Si IPM ne possède des médias que dans le royaume, dont La Libre Belgique, ainsi que les éditions belges de Paris Match et Courrier International. Le géant Rossel fait, depuis quelques années, une véritable razzia sur les médias régionaux du nord de la France.

Le groupe possède ainsi dans notre beau pays des journaux comme : La Voix du Nord, Le Courrier Picard, Nord Eclair, Champagne FM, L’Aisne Nouvelle, Direct Lille Plus, L’Ardennais, la version lilloise du quotidien gratuit 20 minutes, et même le magazine de cinéma Première.

Pourquoi donc Rossel voudrait il étendre son emprise à la Normandie ? Ce titan appartient à la famille Hurbain. Son grand représentant, Patrick Hurbain, préside Rossel, dont il détient aussi 33 % du capital, ses deux sœurs Christine Marchant-Hurbain et Nathalie Hurbain possèdent le reste. En Belgique, Patoche est le maître incontesté de bon nombre de grands médias, certains journaux s’en sont d’ailleurs inquiétés (comme investigaction.net et lemediapresse.fr). De là à penser qu’il voudrait encore agrandir son influence sur notre territoire national, il n’y a qu’un pas.

Mais la grande perdante de l’affaire reste, assurément, La Manche Libre. Son patron, Benoît Leclerc, s’était associé à Jacques Rosselin (directeur de l’Ecole Française de Journalisme) et Marc-Antoine Troletti, entrepreneur local, pour racheter Paris-Normandie. Le projet était soutenu par le Crédit Agricole et la Caisse d’épargne et avait rassemblé sept millions d’euros pour le rachat. Hélas (pour eux), Benoît Leclerc et Jacques Rosselin n’ont pas réussi à s’entendre sur le partage des pouvoirs, le premier exigeant les postes de président et de directeur général de Paris-Normandie. Inacceptable, semble-t-il, pour le second, puisque le projet a capoté. En revanche, le journal breton Ouest-France, bien implanté en Normandie, est resté étrangement discret sur les évènements ; il faut dire que le malheur de Paris-Normandie pourrait faire son bonheur. Enfin, le président de la région Normandie, Hervé Morin, doit suivre le dossier de près ; lui qui s’était déjà opposé au rachat du journal par Rossel en 2017, soutiendra certainement le belge IPM, qui a aussi la faveur de Jean-Louis Louvel.

 

Nécromancie à Rouen : qui veut réanimer Paris-Normandie ?
Les intrigues autour du quotidien normand de Rouen n’en finissent pas, alors que celui-ci est en liquidation judiciaire depuis le 21 avril 2020.

Avec plusieurs millions d’euros de dettes, des ventes en baisse (tirage à 41 000 exemplaires pour l’année 2019) et en déficit régulièrement, le plus mauvais des marabouts pourrait prédire, sans trop de marge d’erreur, que l’avenir de Paris-Normandie est mal engagé. Et encore, ça, c’était avant la crise du Covid-19, qui l’a emmené au septième cercle de l’enfer en faisant chuter de 90 % ses revenus publicitaires. Les journalistes de Paris-Normandie ont donc découvert qu’ils pouvaient encore tomber plus bas, avaient-ils conscience de la situation quelques mois plus tôt ? Ils étaient peut-être trop occupés à faire des articles larmoyants sur des clandestins « mineurs » ayant certainement dépassé la trentaine. Qui, évidemment, venaient de pays en guerre comme la Guinée, le fameux conflit Sénégalo-Guinéen…

Le journal était jusqu’alors la propriété de l’homme d’affaires Jean-Louis Louvel, président fondateur de PGS (entreprise spécialisée dans la palette en bois) également président du club de rugby rouennais. Toutefois, la candidature de ce dernier à la mairie de Rouen pour les municipales, sous l’étiquette LREM, avait créé quelques rififis au sein de la rédaction, certains des journalistes se rappelant leur théorique déontologie, craignant un évident conflit d’intérêt. C’est peut-être l’étiquette de M. Louvel qui avait accordé au journal le privilège d’être sélectionné, avec France 3 et France Bleu, pour couvrir la visite de Christophe Castaner en Seine-Maritime le 16 mai dernier. De fait, les rédactions normandes avaient quelque peu râlé de se voir ainsi écarté de l’actualité de leur territoire (le Courrier Cauchois l’a mal pris) au bénéfice de seulement trois médias exclusifs.

L’espoir déçu du premier tour

Toutefois, la Vox Populi n’a pas été du côté de LREM : Jean-Louis Louvel arrive troisième avec 16,79 % des voix. C’est la douche froide, le monde de la palette en bois n’est, semble-t-il, pas le même que celui de l’arène politique. Il s’est d’ailleurs retiré de la course le 28 mai. Mais cela change-t-il quelque chose pour Paris-Normandie ? Oui…et non. Quand le roi de la palette était toujours dans la course, avant les résultats du premier tour, il semblait réfléchir à vendre son quotidien à l’un de ses frères normands, Pierre-Antoine Capton. Le sieur, en plus d’être un autre soutien de la macronie, a la particularité de produire l’émission C à Vous mais aussi, et surtout, d’être l’associé de Xavier Niel et Mathieu Pigasse dans le groupe Médiawan. Mais, le premier tour des municipales a redistribué les cartes, et la vente du journal à Pierre-Antoine Capton n’est plus d’actualité. Monsieur Louvel à une autre idée en tête : vendre son quotidien tout en restant associé minoritaire, ce qui lui permettrait de garder un peu d’influence sur le journal.

Un journal en état de mort clinique qui aiguise les appétits

Malgré le gouffre financier qu’est Paris-Normandie, trois prétendants se pressent à la porte tels des Témoins de Jéhovah en soif de conversions ; le groupe français Health Initiative, et deux envahisseurs venus d’outre Meuse, les groupes de presse belges IPM et Rossel.

Le Français fait figure d’outsider, avec « seulement » six millions d’euros de chiffre d’affaire, et est spécialisé dans les revues médicales. Les belges, c’est une autre histoire ! Si IPM ne possède des médias que dans le royaume, dont La Libre Belgique, ainsi que les éditions belges de Paris Match et Courrier International. Le géant Rossel fait, depuis quelques années, une véritable razzia sur les médias régionaux du nord de la France.

Le groupe possède ainsi dans notre beau pays des journaux comme : La Voix du Nord, Le Courrier Picard, Nord Eclair, Champagne FM, L’Aisne Nouvelle, Direct Lille Plus, L’Ardennais, la version lilloise du quotidien gratuit 20 minutes, et même le magazine de cinéma Première.

Pourquoi donc Rossel voudrait il étendre son emprise à la Normandie ? Ce titan appartient à la famille Hurbain. Son grand représentant, Patrick Hurbain, préside Rossel, dont il détient aussi 33 % du capital, ses deux sœurs Christine Marchant-Hurbain et Nathalie Hurbain possèdent le reste. En Belgique, Patoche est le maître incontesté de bon nombre de grands médias, certains journaux s’en sont d’ailleurs inquiétés (comme investigaction.net et lemediapresse.fr). De là à penser qu’il voudrait encore agrandir son influence sur notre territoire national, il n’y a qu’un pas.

Mais la grande perdante de l’affaire reste, assurément, La Manche Libre. Son patron, Benoît Leclerc, s’était associé à Jacques Rosselin (directeur de l’Ecole Française de Journalisme) et Marc-Antoine Troletti, entrepreneur local, pour racheter Paris-Normandie. Le projet était soutenu par le Crédit Agricole et la Caisse d’épargne et avait rassemblé sept millions d’euros pour le rachat. Hélas (pour eux), Benoît Leclerc et Jacques Rosselin n’ont pas réussi à s’entendre sur le partage des pouvoirs, le premier exigeant les postes de président et de directeur général de Paris-Normandie. Inacceptable, semble-t-il, pour le second, puisque le projet a capoté. En revanche, le journal breton Ouest-France, bien implanté en Normandie, est resté étrangement discret sur les évènements ; il faut dire que le malheur de Paris-Normandie pourrait faire son bonheur. Enfin, le président de la région Normandie, Hervé Morin, doit suivre le dossier de près ; lui qui s’était déjà opposé au rachat du journal par Rossel en 2017, soutiendra certainement le belge IPM, qui a aussi la faveur de Jean-Louis Louvel.

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Commentaires
C
Le tribunal de commerce de Rouen fera savoir son choix mardi 9 juin 2020 quant au futur repreneur de Paris-Normandie avec deux mauvaises solutions belges:<br /> <br /> 1) soit le groupe Rossel qui possède déjà la Voix du Nord avec le risque que le dernier quotidien normand ne soit à terme pensé et intégralement fabriqué à Lille ce qui reviendrait à dire que la Normandie caennaise se raconte au quotidien à Rennes (Ouest France) et que la Normandie rouennaise se racontera désormais à Lille (Paris Normandie).<br /> <br /> <br /> <br /> 2) soit le groupe IPM un autre groupe de presse et de médias belge de tradition catholique plus conservateur.<br /> <br /> <br /> <br /> Sauf qu'on apprend grâce à une enquête de Manuel Sanson publié par Le Poulpe, le média normand d'investigation, que Jean-Louis LOUVEL s'est discrètement rapproché des promoteurs de cette dernière offre pour tenter de reprendre financièrement son propre journal en comptant sur une certaine neutralité des journalistes du syndicat du SNJ (des promotions sont miroitées à certains) et en comptant aussi sur le fait que le "roi de la palette" est, de par ses activités passées, un bon client du tribunal de commerce de Rouen: cette position de JL Louvel dans le dossier qui est légale (depuis que le gouvernement a récemment assoupli les conditions de reprise des entreprises placées en redressement judiciaire) fait grincer bien des dents au point que le procureur de la République de Rouen a reçu une lettre anonyme dénonçant la situation d'un ancien propriétaire pouvant redevenir l'actionnaire important d'une entreprise en difficulté financière après que les dettes aient été socialisées par le tribunal, sans parler de certains mouvements de fonds entre les entreprises de M. Louvel qui pourraient paraître suspect. <br /> <br /> <br /> <br /> De là à dire que JL Louvel qui a échoué dans son entreprise politique (renonciation aux municipales) chercherait à garder le contrôle de PN pour nuire au futur maire-président de la métropole de Rouen, probablement un certain Mayer-Rossignol il n'y a qu'un pas qu'on ne franchira pas ici: ce n'est peut-être que l'orgueil de n'avoir pas réussi à sauver Paris Normandie qui pousse JL Louvel associé à Jimmonet à tenter une dernière manoeuvre en s'associant à l'offre belge concurrente de celle du groupe Rossel qui est visiblement soutenue par la majorité de la rédaction de PN malgré un plan annoncé de réduction des effectifs.<br /> <br /> <br /> <br /> Bref! Le dossier de la reprise de Paris Normandie est très très chaud!
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B
La Normandie divisée, ballotée, éclatée, sous les coups de boutoirs de nos voisins..un coup ça vient de l'Ouest, un coup du Sud-Est (Paris), là, c'est un coup qui vient du Nord. Et toujours sous le regard de 3 millions de ruminants placides qu'on appelle autochtones...
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C
72% des journalistes de la rédaction de Paris-Normandie souhaitent la reprise du journal par le Belge Rossel qui possède déjà la Voix du Nord: le titre va changer de nom et s'appeler non plus "Paris-Normandie" mais "Paris-Lille-Bruxelles" (je plaisante...)<br /> <br /> <br /> <br /> https://actu.fr/normandie/rouen_76540/les-journalistes-de-paris-normandie-en-faveur-d-une-reprise-par-le-groupe-belge-rossel_34113303.html
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M
Il n'y a pas d'autre solution que la région pour sauver PN et en faire un journal informant les Normands sur l'actualité et les projets de leur région. OUI, cela s'est fait auparavant mais jusque là sous dictatures... On reproche aux Normands d'être trop modérés mais on ne leur donne pas la chance de pouvoir manifester leur amour de la Normandie. Il faut que nous devenions des Normands chauvins!
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D
Bjr,<br /> <br /> bien sûr, « prononçons-nous » pour la solution la moins pire, celle, à juste titre, que nous propose « L’Etoile de Normandie » (Jean-Louis Louvel garant à hauteur de 49% de capital « normand » dans ParisNORMANDIE) mais à l’instar de l’idée judicieuse de « L’Etoile de Normandie » d’un grand emprunt régional face à la sortie de crise sanitaire, et maintenant, économique actuelle, n’y aurait-il pas lieu, à propos de la reprise de ParisNORMANDIE (dans le contexte de surcroît de l’importance de l’existence d’un grand quotidien régional populaire écrit couvrant l’intégralité du territoire normand dans une région modèle, qui plus est, Région=Province), de lancer un appel public à financement participatif ?<br /> <br /> Certes, dans un autre domaine, mais quand même, l’appel à financement participatif (sur « Ullule ») tout récent lancé par un groupe de jeunes à propos de la création d’une structure liée au lin –«LINportant»* à Evrecy 14- est une véritable réussite, et s’avère être du double de participants que ce qui avait été, au mieux, escompté ! Sans mauvais jeu de mot, il existe maintenant une réelle « fibre » régionale !<br /> <br /> Et, surtout, dans le contexte prégnant de réouverture de campagne électorale municipale de 2ème tour (28 Juin) au Havre, notre Premier Ministre, Monsieur Edouard Philippe, à l’âme sans conteste normande à tout le moins havraise, candidat à la tête de la « capitale économique normande », peut-il se désintéresser d’un tel sujet (la PQR de sa région**) alors même que, l’actualité nous l’a tout récemment prouvé, l’Etat n’a guère su faire respecter, par « son bras séculier » en la matière c’est-à-dire La Poste, la distribution régulière de la presse, alors que la Poste, pour ce faire et au nom de la Liberté d’expression, reçoit 100 millions d’€ par an de financement public ?<br /> <br /> Bien cdlt.<br /> <br /> *sur cette réussite, France 3 Normandie Caen, notamment et récemment, en a largement fait état.<br /> <br /> ** Normandie à vocation internationale où se tient chaque année le « Forum Mondial Normandie Pour La Paix » !
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