Municipales à Rouen: nous avons besoin d'une métropole régionale et non pas d'une capitale nationale du progressisme sociétal...
Billet de Florestan
Ici, nous sommes inquiets pour l'avenir de Rouen car nous sommes Normands!
"Le monde moderne est plein d'anciennes vertus chrétiennes devenues folles" Gilbert Keith Chesterton (1908)
Toutes les questions sont liées.
La queston rouennaise est liée fondamentalement à la question industrielle et portuaire. La question industrielle et économique est à Rouen plus qu'ailleurs directement liée à la question sociale, salariale, à celle de l'emploi car Rouen est la dernière grande agglomération industrielle de France: La Normandie est encore la première région industrielle du pays à proximité de Paris, première région urbaine d'Europe par la richesse produite et par le nombre d'habitants. En conséquence, la question rouennaise est liée à la question normande qui est la question géopolitique de savoir comment faire exister une vraie région-province à l'histoire millénaire dotée d'un potentiel économique d'intérêt national à partir d'une véritable métropole régionale (qui n'existe toujours pas à Rouen) dans la proximité de la région parisienne.
Plus concrètement, Rouen est, encore, une agglomération à la fois bourgeoise et populaire et où les classes populaires travaillent encore là où elles vivent: les zones industrielles et portuaires sont encore à proximité immédiate du centre-ville et l'habitat populaire est dans l'agglomération. La concentration de la mixité socio-économique rouennaise sur le territoire aggloméré de la "métropole de Rouen Normandie" s'explique, bien entendu, par une contrainte géographique forte: Rouen est établie depuis 2000 ans dans un méandre relativement encaissé de la vallée de la Seine et l'agglomération reste toujours encerclée par une périphérie non pas de zones industrielles, commerciales ou de zones pavillonnaires mais de... forêts: cette géographie contraignante devrait être un atout à l'heure où l'on parle de stopper l'étalement péri-urbain pour des raisons écologiques.
Justement, la question écologique pourrait être le ciment de toutes les autres questions et permettre ainsi, enfin, la construction d'une solution pérenne, viable et efficace à la question rouennaise: à condition de trouver le bon maçon et les bonnes pierres. A condition de travailler dans la réalité et avec la réalité sans suivre des lubies idéologiques qui n'intéressent que ceux qui les suivent.
On rappellera donc quelques évidences:
Rouen est à Rouen et aux Rouennais. Rouen se trouve en Normandie sur la Seine entre Paris et la mer. La Normandie a besoin d'une métropole régionale qui doit se trouver à Rouen. Nous en avons été durablement privés depuis les années 1960 car le choix a été fait de couper la Normandie en deux et de ne pas développer à Rouen une métropole régionale pour ne pas gêner l'expansion parisienne en aval sur la Seine jusqu'au Havre.
Rouen a pris du retard dans une région trop petite et a cru devoir se battre contre Le Havre et son port alors qu'il aurait fallu se préserver de Paris voire de... Mantes-la-Jolie.
La question sociale rouennaise est double: en haut des élites locales localistes qui ne pensent pas à l'évidence que Rouen est la métropole de la Normandie et qui n'ont aucune idée, aucune vision sinon aucune ambition pour l'avenir de leur ville en dehors du projet de faire de Rouen une banlieue de Paris. En bas: un petit peuple d'ouvriers, d'employés et d'intérimaires qui travaillent encore beaucoup dans l'industrie, le port, la logistique et qui a peur de perdre son travail. Et, de plus en plus, une inquiétude écologique qui vient surplomber toutes les autres qui a été avivée par la catastrophe de l'incendie de l'usine Lubrizol en septembre 2019.
Vu l'état actuel des forces politiques encore en lice pour cette improbable campagne des élections municipales 2020 décidément extraordinaire, la coalition écolo-socialiste a toutes les chances de l'emporter le 28 juin prochain.
Si j'étais un candidat dit de "gauche" j'éviterais les erreurs suivantes:
Ne pas couper la ville de son industrie.
Ne pas couper la ville de son port.
Ne pas opposer écologie et industrie.
Ne pas opposer écologie et aménagement du territoire (question du contournement autoroutier).
Ne pas opposer la ville centre et la métropole qui la justifie.
Ne pas couper la métropole de Rouen de la Normandie.
Ne pas enfermer Rouen dans une relation corridorienne et séquanienne exclusive avec Paris.
Ne pas instrumentaliser la question sociale rouennaise par un progressisme sociétal abstrait et hors-sol.
Rouen, capitale nationale du progressisme sociétal ou métropole de la Normandie?
Sur la carte de France des villes où le bougisme militant gauchiste progressiste se fait régulièrement remarquer (Grenoble, Toulouse, Nantes, Marseille...) il faut, dorénavant, ajouter la ville de Rouen. Mais à quoi bon faire de Rouen une capitale "des luttes" au même titre qu'une capitale culturelle avec ses festivals, ses événements artistiques, festifs ou créatifs si c'est pour imposer aux Rouennais et aux gens qui travaillent à Rouen un happening hebdomadaire aussi conceptuel que violent dans les rues du centre-ville? Le nihilisme même créatif ou ludique reste un nihilisme: cela n'apporte aucune solution aux problèmes concrets d'une classe populaire dont ces militants soi-disant engagés se parfument et se décorent!
Rouen et les Rouennais n'ont pas à subir ce charivari régulier qui s'agite sur la question sociétale ou diversitaire avec, parfois, une cavalerie militante lancée au grand galop sur le champ de batailles aussi absurdes qu'abstraites avec l'importation de problématiques idéologiques étrangères aux problématiques rouennaises et normandes: le nihilisme de ceux qui rêvent de faire de Rouen une sorte de capitale nationale de la protestation sociétale progressiste en instrumentalisant la question sociale vécue au quotidien par un petit peuple d'ouvriers, d'employés et d'intérimaires précarisés, n'apportera aucune solution.
"Rouen n'a pas vocation à demeurer dans un espace interstitiel."
Laurent Fabius, colloque du Havre sur l'avenir de l'Axe Seine (mai 2010)
Ce qu'il nous faut, au contraire, c'est une vraie métropole régionale. Solide, efficace et active en coopération étroite avec la région Normandie pour garantir la pérénnité des emplois rouennais: de cette réalité réactionnaire (on parle bien sûr de la Normandie), nos militants gauchistes qui se croient déjà citoyens du Monde plus préoccupés du lointain que du proche, ils s'en foutent. Pis! Ils ont décrété que cette réalité n'existe pas ou qu'elle n'existait plus car dans leur paresse intellectuelle idéologique, pour résoudre un problème, il suffit de ne plus en parler et ainsi le faire disparaître. Pensée magique...
D'ailleurs, le petit peuple rouennais au travail et/ ou chômage qui tire, parfois, le diable par la queue le 15 du mois passé, ne prend pas les gauchistes rouennais au sérieux et surtout pas leurs appels à la fameuse "convergence des luttes" pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont ni les moyens ni le temps de vadrouiller intellectuellement et idéologiquement dans une fausse conscience de classe.
En effet, la gauche progressiste militante (à Rouen comme ailleurs) s'amuse intellectuellement avec la figure populaire et la symbolique de la question sociale mais il ne s'agit là que d'une mascarade car ce qui intéresse vraiment ces militants c'est le progressisme sociétal et diversitaire (par ex: la déconstruction des valeurs de la société occidentale sur la scéne nationale d'un théâtre subventionné avec l'argent du contribuable). Le problème qu'ils refusent de voir c'est que cette marotte n'intéresse qu'eux et cette gauche progressiste rouennaise devrait se préoccuper de penser son seul véritable problème politique:
POURQUOI les principales victimes de la question sociale rouennaise ne votent pas pour elle? Pourquoi ce petit peuple laborieux ne vote plus? Et quand il vote encore, pourquoi vote-t-il pour le... Rassemblement National?
Le bien nommé François Boulo s'est fait l'avocat plaidant pour l'avenir des travailleurs à Rouen...
La gauche progressiste rouennaise a, bien entendu, essayé de récupérer la dynamique prostestataire quasi insurrectionnelle d'un mouvement des Gilets Jaunes qui fut très fort à Rouen et qui le demeure encore aujourd'hui. Mais quand on entend l'avocat François Boulo qui a bien voulu être le porte parole des Gilets Jaunes de Rouen, de quoi nous parle-t-il?
De déconstruire la figure paternelle? De décoloniser les arts? De dégenrer les toilettes publiques? De généraliser l'écriture inclusive? De s'entraîner aux jeux olympiques victimaires? D' apprendre à détester son histoire, son héritage, ses traditions, son identité? D'expurger les oeuvres littéraires de toute trace de phallocratie? De transformer un opéra en tract militant? D'interdire des oeuvres, des spectacles, des films ou des conférences publiques sous prétexte de féminisme ou d'antiracisme? De promouvoir la PMA et la GPA? D'abolir toutes les frontières, toutes les institutions et toutes les religions (surtout le christianisme) car elles seraient la source de toutes les aliénations?
Non. Il nous parle comme les autres Gilets Jaunes rouennais et comme d'ailleurs le reste de ce peuple quand, enfin, il prend (rarement) la parole, d'emplois à préserver, de salaires à maintenir et à augmenter, d'industries à défendre, à développer, d'une mondialisation dont il faut enfin apprendre à se défendre, de fraude fiscale, de justice sociale, d'impôts à réformer, d'initiatives populaires concrètes pour améliorer le quotidien, de référendum et de démocratie authentique: on est bien sur le plancher des vaches de la question sociale et le carnaval gauchiste d'un David Bobée et de quelques autres semble bien étrange sinon étranger aux intérêts des citoyens rouennais et normands.
Reste la question écologique que d'aucuns croient qu'elle pourrait cimenter toutes les autres: là encore le risque d'une instrumentalisation politicienne et idéologique de la catastrophe de Lubrizol est grand. Il serait même indécent.
Car ne pas lier réellement, sérieusement, concrètement la question écologique à la question sociale donc à la question industrielle ce serait obliger le petit peuple laborieux rouennais à choisir entre l'écologie et son travail.
Messieurs dames les futurs élus rouennais... Au travail! Justement...
Compétition électorale rouennaise: état des lieux après le dépôt officiel des listes pour le second tour du 28 mai 2020: la défection sur le champ de bataille du beau chevalier blanc que l'on sait a semé la zizanie dans la droite centriste rouennaise...
Municipales. Nicolas Mayer-Rossignol et Jean-François Bures ont déposé leurs listes respectives, mardi 2 juin 2020, en préfecture. La course au second tour, fixé le 28 juin 2020, est officiellement lancée. Le suspens s’est envolé.
Les dés sont jetés. Ils ne tomberont que le dimanche 28 juin 2020 sur le tapis du jeu démocratique municipal, pour révéler quelle sera la face gagnante. Mais il faut bien le dire, le suspense n’est en rien insoutenable à Rouen.
D’un côté, une stratégie d’alliance dont la couleur avait été clairement annoncée. Même assommé par sa place de deuxième au soir du 15 mars 2020, Jean-Michel Bérégovoy (EELV), parti en favori, n’a jamais fait mystère de son positionnement pour le second tour. Dans le camp reconstitué de Fiers de Rouen porté par Nicolas Mayer-Rossignol (PS), on intègre 24 équipiers de la liste Verts-PCF-Génération.s, sur un total de 55 noms. Jean-Michel Bérégovoy est 3e ; Laura Slimani (Génération.s), 4e ; Fatima El Khili, 6e et Manuel Labbé (PCF), 9e. La liste a été déposée dans le courant de la matinée, mardi 2 juin 2020, à la préfecture. « On a appliqué la règle proportionnelle. On s’est rencontré deux fois et on a fait valider la liste samedi par les différentes instances politiques représentées », expose Nicolas Mayer-Rossignol. Le candidat, arrivé en tête à la sortie des urnes le 15 mars 2020, est déjà dans la partie d’après depuis un moment. Il se déclare « immédiatement opérationnel » pour agir à la fois à l’échelle de la Ville mais aussi à l’échelle de la Métropole « pour porter un plan de relance ». Même si, pour la forme, il n’omet pas de signaler que rien n’est jamais acquis. « Le risque de l’abstention et le virus sont toujours là. » Mais sur le papier, en faisant la somme de ses voix et de celles de Jean-Michel Bérégovoy obtenues au premier tour, la partie semble gagnée.
Dans le camp adverse, l’abandon de Jean-Louis Louvel qui portait la liste Rouen Autrement a semé une belle pagaille. En témoigne, la longue diatribe de Robert Picard (Ex-UDI devenu LREM), publiée sur Facebook, qui parle de « faute politique » commise par le duo Bures-Caron. Et les petits tweets du week-end de Jonas Haddad (LR).
Petit Poucet de la campagne des municipales de Rouen depuis qu’il avait été abandonné par sa famille politique (LR) - pour lui avoir préféré Jean-Louis Louvel -, Jean-François Bures a semé, avec patience, ses petits cailloux afin de trouver son chemin dans cette campagne électorale. Après son rapprochement, le dimanche 24 mai 2020, avec Marine Caron qui portait les couleurs de la liste « Ensemble pour Rouen », le patron de la liste « Au cœur de Rouen » était prêt à tendre la main « aux talents que l’on avait identifiés sur la liste de Jean-Louis Louvel ». Après un échange téléphonique avec ce dernier qu’il a trouvé « très positif sur le projet d’alternance » et les longues discussions entreprises avec son émissaire Maxime Boissière (LREM), les négociations, aussi « intéressantes » fussent-elles, sont restées bloquées. « Il y a eu des tentatives pour torpiller tout rapprochement. » Sans tous les nommer, Jean-François Bures pointe du doigt les esprits politiciens et va même jusqu’à parler de « politicards ». « Quand ils ont compris qu’ils ne seraient pas sur la liste, ils ont voulu mettre en échec » ce qui pouvait conduire à une entente. « Je plains Jean-Louis Louvel d’avoir travaillé avec des gens comme ça », commente sèchement Jean-François Bures qui fera donc équipe avec Marine Caron et 20 de ses colistiers. « Finalement, je suis très heureux de ne pas avoir fait de compromission. Ma liste est sans étiquette politique. » Le nouveau Jean-François Bures compte bien faire de son refus de céder à « la tambouille politicienne » un argument de campagne pour aller affronter « la liste ultra-politicienne de Nicolas Mayer-Rossignol. »
Journaliste, responsable agence de Rouen
Lire ci-après une présentation synthétique de la problématique rouennaise donnée à La Tribune par Nathalie Jourdan qui a le mérite de rappeler l'évidence:
La métropole de Rouen présente des fragilités structurelles en raison de la faiblesse de la commune centre qui la justifie et du trop grand nombre de communes qui la constitue. Ce qui implique que le maire de Rouen doit être aussi le président de la métropole.
Plus facile à dire qu'à faire si la course pour les places s'aiguise entre socialistes et écologistes.
Lire aussi cette analyse (Bertrand Tierce) dans la Chronique de Normandie, n°629 1er juin 2020:
Commentaire de Florestan:
Vae victis!
Lire aussi cette autre analyse proposée par Jean-Pierre Renard, lecteur fidèle de l'Etoile de Normandie qui rappelle une autre évidence totalement ignorée par les médias sauf sur l'Etoile de Normandie. En effet, le sort de la métropole de Rouen est indissociable de celui de la Normandie mais aussi de la coopération (aujourd'hui totalement inexistante) qui devrait être menée de façon approfondie avec les communautés urbaines du Havre et de Caen pour créer le réseau métropolitain régional normand ayant la taille critique et la puissance nécessaires pour assurer un avenir durable à l'ensemble de la Normandie dans la proximité de la mégalopole mondiale parisienne: C'était, on s'en souvient, la solution proposée par le collectif des géographes universitaires normands dans les années 2010...
Archive de l'Etoile de Normandie:
http://normandie.canalblog.com/archives/2017/12/15/35960381.html
Jean-Pierre Renard:
Rouen Métropole Normandie est une réalité qui ne se hisse pas encore à la hauteur de sa reconnaissance officielle (organisation du territoire, loi sur les Métropoles) car, force est de constater que, seule, Rouen ne remplit pas les éléments constitutifs d'une métropole en tant que telle (sièges de sociétés, emplois métropolitains supérieurs, place bancaire etc...). Donc la seule issue pour Rouen donc pour la Normandie aussi, ce serait plus de coopérations institutionnalisées entre les trois plus grandes villes normandes. C'est ce que l'on appelle « la tripolitaine normande » ou encore CAROLE (Caen/Rouen/Le Havre) à l'instar, ici et là, d'exemples patents réussis chez nos voisins d'Europe du Nord (par exemple, au Pays-bas, le triangle Amsterdam-La Haye- Rotterdam) d'autant plus que la nouvelle loi de décentralisation "3D" annoncée par le gouvernement devrait enfin permettre la réalisation de cette opportunité.
Dans son message laissé à la rédaction de l'Etoile de Normandie, Jean-Pierre Renard ajoute aussi ceci:
Rouen/Le Havre Port 2000 : assez de conflits « localistes » qui dans le passé ont trop paralysé l'ambition portuaire normande. Après tant de désaccords il faut impérativement des accords nécessaires entre Rouen et le Havre sur les infrastructures d'avenir dans la vallée de la Seine : le contournement Est de Rouen auto-routier est indispensable (quid de ce projet désormais avec les écologistes?) mais parallèlement dans le contexte prégnant du Développement Durable, repenser la LNPN et de nouveau, mettre en oeuvre le tracé du scénario "C" (débat public sur la LNPN de 2011) "irriguant" réellement le territoire central de la Normandie entre Caen, Rouen et Le Havre à partir de la rive gauche de la Seine et un franchissement sous-fluvial de la Seine dans l'estuaire, donc, bien en aval de Rouen ( fret passagers et marchandises, ferroutage, accélération des circulations entre les trois villes normandes, concrétisation d'une seule Université Normande) et ferroutage): la réunification du coeur de la Normandie sur les deux rives de la Seine bénéficierait ainsi à toute la Normandiele existant enfin dans son unité depuis le 1er janvier 2016. Notre territoire normand a eu la chance de garder ses spécificités fameuses -géographiques et surtout historiques, ses traditions bien vivantes des pays, son patrimoine, sa qualité exceptionnelle de concilier la région avec la province, toutes qualités requises pour fonder une volonté régionale puissante afin de s'intégrer en "autonomie" par rapport au futur « Canal Seine Nord Europe », pour exister face au « Grand Paris », pour piloter « l'Axe Seine » -bien sûr, sachant que notre proximité d'avec la Ville-monde, Paris, est un atout... exigeant.
Pour mémoire, en 2010, Rouen et la Normandie avaient su impressionner...
Enfin, pour ravir votre curiosité intellectuelle et confirmer, en partie, notre propos critique ci-dessus quant à l'action d'une certaine gauche à Rouen, nous sommes tombés, par hasard, sur le dernier numéro de la revue "Z", revue intinérante d'enquête et de critique sociale dont le numéro 13 est consacré à Rouen...
Edifiant! Quand il s'agit de considérer la virulence de la question sociale rouennaise et son instrumentalisation idéologique...
4ème de couverture:
Editorial:
Sommaire édifiant...
Frontispice du dossier consacré à la question sociale rouennaise: