Livre : Le choix d'une France Fédérale
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Ce livre écrit en 2006 par plusieurs mains présentent l'idée d'une France fédérale : un ouvrage qui propose une évolution de notre système politique vers davantage de fédéralisme et de régionalisme.
Présentation de l'éditeur : Le déclin de la France est patent : Une société bloquée, un Etat incapable de se réformer, trop centralisé, des partis politiques de gouvernement, droite et gauche, dépassés par une société qu’ils ne comprennent plus et désavoués par plusieurs scrutins consécutifs…
En quelques années, toutes les certitudes des Français se sont
effondrées et les hommes politiques semblent déboussolés. Ils ne
proposent rien d’autre que le maintien du statu quo avec une seule
perspective : l’alternance qui conduirait au pouvoir les mêmes hommes
et les mêmes méthodes qui ont conduit la France au bord du gouffre.
Chacun sent bien confusément qu’une rupture dans les façons de
fonctionner, c’est-à-dire de vivre ensemble, est indispensable.
Le
temps d’une évolution logique de notre démocratie et de notre système
politique est venu. Il faut désormais envisager de réformer notre
‘exception française’ que nous sommes les seuls à admirer.
L’Etat-nation centralisé n’est plus adapté au monde moderne et son
organisation devient le boulet qui entraîne la France vers le fond,
inexorablement.
"Le Choix d'une France fédérale" est paru aux éditions Mirno-Graphie
Et si la solution était UNE FRANCE FEDERALE ?
Le fédéralisme est une philosophie de l’organisation de la société qui
repose sur l’autonomie de la personne humaine et des collectivités
auxquelles elle appartient. Ce système politique qui donne une grande
autonomie aux régions (ou Etats) fédérés est celui qui s’applique dans
la majorité des pays avancés (40% de la planète).
Nous proposons d’adapter notre organisation politique et sociale selon
un modèle de type fédéral par la transformation de nos institutions en
« République fédérale française ».
L’Etat fédéral ne garderait que les fonctions de sécurité, de coordination et de péréquation ; selon le principe de subsidiarité, les régions françaises et les communes (ou leurs groupements) auraient en charge tout le reste, sous le contrôle plus direct des citoyens : une démocratie de proximité. Certes, la transition ne sera ni simple ni immédiate, car on ne gomme pas d’un trait de plume tous les méfaits du centralisme et de l’Etat-providence. Les propositions fédéralistes sont réalistes, progressistes et sans doute les plus à même d’améliorer notre « vivre-ensemble » en remettant la personne au centre, face à ses responsabilités au sein de collectivités à taille humaine, volontairement fédérées.