ENCORE une nouvelle démission du boulet LE VERN !

Le boulet Alain LE VERN démissionne de la SNCF. On aurait envie de dire: encore !

Le dossier de la suppression de certains trains normands préconisée par le rapport Duron serait-il un "un dossier trop lourd à porter sur les terres normandes ?" comme tente de l'expliquer le journaliste mal informé ci-dessous ? Certainement pas ! Alain Le Vern avait déjà publiquement et sans vergogne déclaré son mépris pour la Normandie à plusieurs reprises. Il faut effectivement plutôt regarder du côté des raisons "personnelles, familiales" et... financières?

Sur l'Etoile de Normandie alors que nous vous contions les dernières nouvelles du clan Le Vern-Hurel, adepte du jeu de bonneteau ou des chaises musicales de la République toujours richement dotées d'indemnités, nous vous avions annoncé le départ pour le moins précipité du boulet Le Vern de la Sncf où il avait été recasé après sa première démission surprise de sa satrapie régionale de Haute Normandie fin septembre 2013: là encore, c'était, officiellement, pour des raisons "personnelles et familiales" et ... financières? (avant la mise en place de l'obligation de déclaration du patrimoine des élus en préfecture en conséquence de l'affaire Cahuzac).

• Pour mémoire, relire ce billet de l'Etoile de Normandie en date du 28 septembre 2013:

http://normandie.canalblog.com/archives/2013/09/28/28107088.html

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que la démission de ce jour a forcément un lien avec le tour de passe passe entre belle-fille et belle-mère d'il y a quelques jours !

Avec le retour à l'unité normande en janvier 2016 décidée par Hollande contre Fabius, le boulet de la division normande et de la division de la gauche en Haute en Normandie roule désormais vers la poubelle de l'Histoire !

Au revoir Monsieur Le Vern et bon débarras !

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http://www.normandie-actu.fr/alain-le-vern-lex-president-de-la-region-haute-normandie-demissionne-encore-a-la-sncf_152768/comment-page-1/#comment-134053

Rouen Alain Le Vern, l'ex-président de la Région Haute-Normandie, démissionne maintenant de la SNCF

La famille Le Vern aura écrit le feuilleton de l'été 2015 : après la démission de Sandrine Hurel au profit de sa belle-fille, au tour du mari de quitter ses fonctions à la SNCF.

Mise à jour : 27/08/2015 à 15:48 par Solène Bertrand

En 2013, Alain Le Vern démissionnait de son poste de président de Région. 26 août 2015, il réitère et quitte son poste à la SNCF©D.R.

Mardi 25 août 2015, Sandrine Hurel, députée de Seine-Maritime, rendait publique sa démission. Sa mission sur la politique vaccinale ayant été prolongée, cette dernière a cédé sa place sur les bancs de l’Assemblée à… sa belle-fille, Marie Le Vern. Une nomination qui, bien que légale et respectueuse des règles en vigueur, a suscité les commentaires et déchaîné les critiques sur les cuisines internes et la politique clanique pratiquée par certains.

> Lire aussi : Une députée de Seine-Maritime démissionne : sa belle-fille lui succède

Au lendemain de cette annonce, mercredi 26 août 2015, c’est au tour de l’époux de Sandrine Hurel (le papa de Marie) de démissionner de son poste de directeur général Régions et Intercités à la SNCF. Pour prendre ces fonctions, le même Alain le Vern avait déjà démissionné, en 2013, quittant le Conseil régional de Haute-Normandie, offrant la présidence à Nicolas Mayer-Rossignol. Une habitude pour l’ancien élu PS haut-normand, qui aime claquer les portes, en soif de liberté.

Serial-démissionnaire

Le 12 septembre 2013, le sénateur et président de la Région Haute-Normandie, annonçait sa démission. Une surprise. Le proche de Laurent Fabius, alors âgé de 65 ans, précisait à l’époque qu’il n’était pas malade, mais qu’il avait « besoin de temps et de liberté pour vivre d’autres expériences et écrire de nouvelles pages. »

> Lire aussi : Démission surprise du président de la Région Haute-Normandie, Alain Le Vern

Le 30 septembre 2013, Alain Le Vern cédait sa place à Nicolas Mayer-Rossignol, l’actuel président de la Région Haute-Normandie. Le 21 octobre 2013, loin de se retirer de la vie publique, le Haut-Normand prenait le train en marche et annonçait intégrer la SNCF. Guillaume Pépy lui ayant confié la mission de « réinventer la relation avec les autorités organisatrices régionales sur les TER pour construire avec les élus une nouvelle génération de services TER ». Nommé le 1^er décembre 2013 au poste de directeur général des services Régions et Intercités, Alain Le Vern, âgé de 67 ans, quitte ses fonctions, moins de deux ans après son intégration.

> Lire aussi : L’ancien président de la Région Haute-Normandie travaillera pour la SNCF à compter du 1er décembre 2013. Il deviendra directeur général des services Régions et Intercités.

« Pour des raisons personnelles et familiales »

Le bulletin de la SNCF, Temps réel, a officialisé l’annonce, mercredi 26 août.

Pour des raisons personnelles et familiales, Alain Le Vern a souhaité être libéré de ses responsabilités de directeur général TER / Intercités à compter du 31 août 2015. Celles-ci seront assurées, dès le 1^er septembre, à titre temporaire, par Barbara Dalibard, avec le concours de Jean-Aimé Mougenot (TER) et Jean Ghédira (Intercités) placés sous son autorité. Alain Le Vern assurera le passage de relais sur plusieurs dossiers qu’il a engagés avec succès, précise la note.

21 mois seulement après sa nomination, Alain Le Vern démissionne… encore. Comme en 2013, cette démission surprise interroge : elle fait suite à celle de son épouse, tant commentée dans les médias, et qui a mis la famille Hurel-Le Vern sous les projecteurs. Alain Le Vern a activement participé au fameux et explosif rapport Duron sur les liaisons SNCF. Un dossier trop lourd à porter sur les terres normandes pour l’ex-président de Région ?

Solène Bertrand

• Voir enfin et surtout, le roman officiel à faire pleurer Margot en sa chaumière, servi à ses lecteurs par le journal Paris-Normandie (agrémenté des commentaires de Florestan l'irrévérencieux...)
  

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/3886832/newsletters/alain-le-vern-ancien-president-de-la-haute-normandie-quitte-la-sncf#.VeDO8ZeD3v0

Alain Le Vern, ancien président de la Haute-Normandie, quitte la SNCF

Publié le 27/08/2015 á 22H17

Mouvement. Directeur général Régions et Intercités à la SNCF depuis novembre 2013, après avoir présidé la Région Haute-Normandie, Alain Le Vern annonce sa démission qui prendra effet lundi prochain. Une vraie retraite qui commence.

«Le lendemain de l’annonce de la cession du siège de député de son épouse, Sandrine Hurel, à sa propre fille, Marie Le Vern, celui-ci annonce sa démission en tant que directeur général Régions et Intercités ». C’est ainsi que sur le web, Wikipédia résume hier la situation personnelle d’Alain Le Vern. Lui répète, sollicité par notre journal, «que ça n’était pas préparé, mais que ça a fait partie de la réflexion».

Lever le pied, penser à sa famille...

Président socialiste de la Région Haute-Normandie durant quinze ans, sur les rails de la SNCF depuis 2013 à l’invitation du président Guillaume Pépy, Alain Le Vern tire sa révérence en parlant d’abord de lui-même. «J’ai 67 ans et demi. Il y a un âge où il faut commencer à se dire: chaque jour qui passe est un pas de plus vers la mort». Se rendant compte de la dureté du propos, peu en phase avec son côté bouillonnant, il corrige aussitôt : «Tout homme a deux vies. La première commence le jour où il s’aperçoit qu’il n’en a qu’une».

(Commentaire de Florestan: Mort de rire !!!)

Là, aujourd’hui, maintenant, il confie «avoir envie de penser un peu plus à lui... J’ai encore fait 110 bornes à vélo le week-end dernier. Tout va bien, je suis en forme. Mais je sais aussi qu’il faut que je fasse gaffe. Alors oui, je pense à moi, mais aussi aux miens, à ma femme Sandrine Hurel...»

(Commentaire de Florestan: généralement, il a toujours manqué à un futur prévenu d'être assez... prévenant ! Un homme averti en vaut deux, dit le proverbe...)

Députée de la 6e circonscription de Dieppe depuis 2007, Sandrine Hurel vient d’abandonner ses fonctions, laissant la place à sa suppléante et belle-fille Marie Le Vern. Une succession qui, bien que légale, a suscité les remarques, entre « favoritisme », « effet de clan »... A-t-elle affecté Alain Le Vern ? Sans nul doute.

(Commentaire de Florestan: veuillez pleurer ici !)

Mais il préfère revenir sur une autre actualité. Conseillère départementale sortante en Seine-Maritime, «Sandrine s’est fait éliminer au printemps dernier. Une situation pas facile dans un contexte de vote sanction national... Elle est entière, s’est dit qu’elle voulait passer à autre chose... Elle a été chargée d’une mission parlementaire sur la politique vaccinale, avec un rapport qu’elle va présenter à la mi octobre. Ce sujet la passionne... Je suis d’autant plus à ses côtés aujourd’hui».

(Commentaire de Florestan: le peuple jaloux de sa souveraineté, déteste le cumul professionnel des mandats en son nom !)

Revenant sur son parcours à la SNCF, Alain le Vern se plaît à penser qu’il a contribué à la refonte des régions au sein de l’établissement, passant de vingt à onze. «Il n’y aura plus qu’une Normandie d’ailleurs, une seule direction, à partir du 1erjanvier». En tête également une «amélioration» selon lui «des relations entre les Régions et la SNCF, avec un climat qui s’est apaisé», sans oublier un vaste plan anti-fraude engagé.

(Commentaire de Florestan: ceux qui auront pratiqué le satrape Le Vern 15 ans durant dans la Caserne Jeanne d'Arc doivent bien se marrer !!!)

S’agissant des TER, le siège national passe lundi prochain de Paris à Lyon, «avec un transfert des équipes sans heurt et sans bruit, assure Alain Le Vern. Transfert qui est une raison supplémentaire d’ailleurs dans ma décision de partir. Autant ça ne me dérange pas de prendre le train pour aller à Paris, autant Lyon est un peu plus éloigné alors que je veux me rapprocher de ma famille».

(Commentaire de Florestan: Transfert? Mais qui voudrait d'un mauvais joueur pareil? Ouste ! du balai et surtout loin de Normandie!)

De toute évidence - il le dit en tout cas - Alain Le Vern veut lever le pied. «Mais je ne vais pas passer de 150% à 0%. Je suis disponible pour quelques interventions, je veux être utile. Transports, énergies, collectivités locales..., quelques heures par mois, ça me va bien». Mais pas de mandat politique visé.

(Commentaire de Florestan: A furore Levernorum libera nos Domine ! Organisons de grands charivaris normands dès que ce triste sire voudra se rendre "utile" en Normandie... Au secours ! Il pourrait revenir! )

En tout cas, la façon dont se construit la future Normandie achève de convaincre l’ancien président de Région «que les choses ont été faites à l’envers... On aurait dû vraiment s’attaquer à la répartition des compétences avant de refondre les territoires». Alors même s’il converse régulièrement avec son successeur, Nicolas Mayer-Rossignol, «qui a déjà fait ses preuves», il a conscience «que la tâche n’est pas facile, qu’il faudra beaucoup de temps et d’énergie pour mettre en place des organisations nouvelles».

(Commentaire de Florestan: on se passera, bien entendu, des considérations de cet individu sur  la Normandie: parler de l'Histoire qui redémarre pour la Normandie depuis ... la poubelle n'est guère crédible !)

Pour l’heure, Alain le Vern n’a qu’une idée en tête, sa démission étant effective lundi à midi. «Accompagner mardi matin mes deux petits enfants à l’école».

(Commentaire de Florestan: pourquoi cet ancien instituteur a-t-il voulu quitter ses élèves pour nous emmerder autant et si longtemps, nous autres pauvres Normands?)

Marc BRAUN

m.braun@presse-normande.com