
Le très british Boris Johnson à Londres, d'une part, et le Savoyard Michel Barnier à Bruxelles, d'autre part, jettent tous deux à leur manière de l'huile sur le feu du Brexit au moment ou la Première Ministre Theresa May proposait au dernier sommet européen en Autriche un compromis qui aurait pu être acceptable. En l'absence d'un "deal" nous allons donc tout droit vers un "hard Brexit" avec une "dead line" fixée en mars 2019.
Il nous faut donc rappeler une évidence sinon une vieille loi géopolitique qui a plusieurs siècles...
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